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2 janvier 2011 7 02 /01 /janvier /2011 02:30








L'orgue d'église a un petit frère très interessant, l'orgue de barbarie!

 













Fichier:DrehorgelnPfeifen.jpg
Tuyaux d'orgue en bois (les plus longs sont coudés pour s'adapter à la forme de l'orgue)




 

  L'orgue de Barbarie est un instrument de musique mécanique à vent classé dans les orgues. Il fait partie des « automatophones », terme qui englobe tous les instruments destinés à produire de la musique par des procédés mécaniques.

 

Il existe sous une grande variété de formes, des plus petits que l'on peut porter en bandoulière comme l'orgue de Barbarie portatif, attribut traditionnel des chanteurs de rue et de l'Armée du salut pour prêcher dans les rues au début du XXe siècle, aux plus grands appelés Limonaires qui sont fixes et affectés à des salles de bal, des cafés, mais parfois aussi des églises. Et une large gamme intermédiaire d'orgues mobiles, portés sur des charrettes ou attelés à des voitures, jusqu'aux orgues qui accompagnaient traditionnellement les manèges forains. Les qualités musicales, l'étendue des registres, sont naturellement très variables.

 

L'appellation « orgue de Barbarie » viendrait de sa sonorité, moins noble que celle des orgues d'église, ou de l'origine exotique des joueurs de rue : les joueurs du XVIIe et XVIIIe siècles « baragouinaient un français approximatif . »

D'autres hypothèses plus ou moins fantaisistes ont été avancées :

  • déformation d'« orgue de Barberi », du nom d'un fabricant italien de Modène, Giovanni Barberi (début du XVIIIe siècle), explication répandue mais fausse ;
  • Orgue de « John Burberry », inventeur anglais imaginaire.

Le nom « orgue » est masculin au singulier, et au pluriel, lorsqu'il désigne plusieurs instruments distincts. Il peut être utilisé au féminin pluriel lorsqu'il s'agit d'un seul instrument. Exemple : « les grands orgues » de France (plusieurs instruments), « le grand orgue de Notre-Dame », ou « les grandes orgues de Notre-Dame » (un seul instrument).

 

 

 


Fichier:Austrian BarrelOrgan.jpg
Joueur d'orgue de Barbarie à Vienne (Autriche).

 

 

 


Fonctionnement

L'orgue de Barbarie se compose, schématiquement, d'un système de soufflet, d'une « boîte à vent », d'un ensemble de mécanismes destinés à amener le « vent » jusqu'aux tuyaux qui produisent le son. Ces mécanismes sont commandés par un organe mobile, pouvant être changé à volonté, qui comporte la mélodie « programmée » : cylindre, disque, carton perforé, programme informatique, etc. Une manivelle actionnée par le « musicien » fait à la fois fonctionner le soufflet, la progression du « programme » et les mécanismes correspondants. Des mécanismes annexes peuvent actionner simultanément des percussions (tambours, tambourins) ou des personnages animés. Selon le principe de l'orgue, les sons sont produits par le passage du « vent » produit par le soufflet, dans des tuyaux correspondant chacun à une note. La différence vient du fait que ce ne sont pas les doigts du musicien qui actionnent les touches, mais un système mécanique, selon le programme préétabli. A priori, le « musicien » n'a pas besoin de talent particulier, puisqu'il lui suffit de tourner la manivelle qui actionne à la fois le soufflet et le mouvement qui actionne le jeu. Encore lui faut-il avoir le rythme nécessaire. Sur certains modèles qui possèdent différents « jeux » comme les orgues traditionnelles, il doit actionner ceux-ci au moment opportun.


Plusieurs systèmes ont été utilisés pour produire la musique mécanique, l'essentiel étant le support de la mélodie programmée. Pendant longtemps a prédominé le « 'cylindre »'[5], garni de « picots » (« taquets », ou « chevilles ») en relief : chaque picot déclenche en temps voulu l'ouverture du tuyau correspondant. On a aussi utilisé le « disque à picots », fonctionnant sur le même principe. Le « disque perforé », où chaque perforation permet l'ouverture du mécanisme (et non, comme on peut être tenté de le croire, le passage direct de l'air). Le défaut des cylindres et des disques étant la limitation de durée des morceaux, on en est venu aux « cartons perforés », attachés les uns aux autres et se repliant en zig-zag, qui n'ont plus de limite de longueur. On trouve aussi du « papier perforé » sous forme de rouleaux, réservés à de petits modèles. Pour beaucoup d'orgues, et surtout les grands modèles de salon qui pouvaient jusqu'au début du XXe siècle remplacer un orchestre de bal, on a adopté un entraînement électrique. Actuellement, de rares spécialistes fabriquent encore les cartons perforés, activité qui demande une bonne connaissance de la musique d'une part, et d'autre part un travail manuel de longue haleine, bien que des outils dédiés existent. C'est pourquoi, de plus en plus, on a recours à des systèmes informatiques (programmation sur des disquettes) qui gèrent l'ouverture et la fermeture des notes, et qui n'ont donc aucune incidence directe sur la qualité sonore puisque c'est toujours l'air passant dans les tuyaux, éventuellement accompagné de percussions mécaniques, qui produit le son.


Les plus petits peuvent être portés en bandoulière, les plus gros atteignent la taille de camions et sont de véritables chefs-d'œuvre d'horlogerie. Ils comportent généralement des objets animés, comme des automates représentant des musiciens, qui bougent au rythme de la musique.


Cet instrument ne doit pas être confondu avec la vielle à roue.


La serinette est le plus petit des orgues de Barbarie, destiné à apprendre aux oiseaux (les serins venant principalement des « Isles de Canaries ») à siffler de courts airs à la mode.

 

 

De nos jours

 

L'utilisation d'orgues de barbarie est très fréquente en Écosse, notamment à Édimbourg (surtout pendant le grand festival au mois d'août) et dans certaines contrées d'Allemagne. En France, le renouveau de l'orgue de Barbarie est réel depuis une dizaine d'années. De nombreux festivals sont organisés dont les plus célèbres (Les Gets, Oingt, Plombières-les-Bains, Horgues, Chassiers, Bon-Encontre, Pavilly, Arpajon, etc...) regroupent des dizaines de « tourneurs » (joueurs d'orgue) venus de toute l'Europe.

Les bourses d'échange permettent de rencontrer les amateurs de musique mécanique (Mirecourt, Noisseville...). Les « tourneurs » utilisent les orgues récents (à flûtes : le son est émis par des flûtes en bois, ou à anches : le son est métallique).



sources : Wikipédia





LIENS


  pour construire son d'orgue de barbarie


ne appellation bien barbare pour un instrument dont l'orine du nom n'est pas définie. Malgré cela, comment ne peut-on pas être émerveillé par cet instrument un peu mystérieux et la musique qui en sort. Ayant connu les derniers vrais manèges à chevaux de bois et les orgues qui les animaient, je ne pouvais avoir que la nostalgie de ces "boîtes à musiques" qui commençaient à se faire oublier et qui reprennent vie grâce à quelques rares  professionnels et amateurs.
 allez sur ce site qui ne pouvait s'appeler que "point org"!
Un autre site pour construire son orgue

















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5 août 2010 4 05 /08 /août /2010 02:30

 

 

 

 

 

Fichier:Buffet.orgue.cathedrale.Perpignan.png

  

 

 

L'orgue est un instrument de musique multiforme dont les caractéristiques communes sont :

  • d’être joué à l’aide d’un ou de plusieurs claviers et le plus souvent d’un pédalier ;
  • de produire les sons à l’aide d’ensembles de tuyaux sonores alimentés par une soufflerie, appelés « jeux » ou « registres », ou d'imiter ce type de sonorités.
Étymologie  

Le mot orgue vient du grec οργανον (organon) (en latin organum), signifiant outil ou instrument (recouvrant par là la notion d’instrument de musique, mais sans lien direct avec l’orgue). L’organa du Moyen Âge désignait aussi bien une polyphonie liturgique que le service religieux lui-même.

L’instrument a également reçu de nombreuses appellations métaphoriques : roi des instruments (expression attribuée à Guillaume de Machaut) ; ancilla Domini, servante du Seigneur ; mais aussi, plus péjorativement, cornemuses du diable.

 

 

Histoire de l’orgue à tuyaux  

 

Orgue d'esthétique germanique

On peut désigner ainsi les instruments disposant d’un sommier, organe central supportant les tuyaux et distribuant le vent dans ces tuyaux sous l’action des touches, le mouvement étant transmis de façon exclusivement mécanique.

La diffusion de l’orgue dans les églises ne devient importante qu’en liaison avec celle de la polyphonie à 4 parties. La période de l’orgue baroque s’étend approximativement du début du XIVe au milieu du XVIIIe siècles. Au cours de cette période de quatre siècles et demi, les progrès techniques accompagnent et suscitent le développement du répertoire, aboutissant à un apogée au cours des XVIIe et XVIIIe siècles dans les principaux centres européens : Italie, France, pays germaniques, Pays-Bas, Angleterre et Espagne.

Du milieu du XVIIIe au début du XIXe siècles, l'orgue va complètement disparaître du registre musical ( ainsi que le clavecin ) au profit de l'orchestre symphonique, même dans le registre religieux, d'où les non-faits de factures d'orgues lors de cette période.

Au XIXe siècle, l'orgue renaît avec l'apparition du style musical romantique et par la même occasion de la facture du même nom. La facture romantique renoue avec les progrès technologiques, sous l'impulsion notoire d'Aristide Cavaillé-Coll : ces progrès concernent au premier chef les modes de transmission et la production du vent, mais aussi l'esthétique musicale. Les compositeurs à l’utiliser à l'époque seront notamment César Franck et Felix Mendelssohn Bartholdy.

Le XXe siècle voit un intérêt grandissant et une redécouverte des instruments anciens. Ce mouvement initié en Allemagne dans les années 1920 va être poursuivi en France jusqu'à nos jours : il s'agit du mouvement de l'orgue néo-baroque. Dans un premier temps, il va constituer une esthétique nouvelle tentant une synthèse des orgues du XIXe siècle aux styles antérieurs. Puis plus tard, on se met à construire des orgues dans les styles d'avant le XIXe siècle que l'on redécouvre.

En France, ce mouvement se fait en parallèle avec un vaste chantier de restauration du patrimoine instrumental au titre des monuments historiques.

De nos jours, de nouvelles créations, poussées par le retour des orgues dans les salles de concert (notamment au Japon et aux USA), s'inscrivent dans la continuité de l'orgue néo-baroque, en y apportant des technologies nouvelles grâce à l'informatique ou le numérique.

 

Lire la source

 

 


Pour plus d'informations, vous pouvez aller voir sur Wikipedia,

Histoire de l'orgue

 

 

 

 



Les liens ne sont pas encore en place!

 

http://www.atelier-quoirin.com/

 

http://christian.bigaud.free.fr/

 

http://www.muhleisen.fr/dynamic/frontoffice_fr/index.php

 

http://eol.asso.online.fr/accueil/index.php3

 

http://www.modulorgue.com/accueil.html

 

 

 

construire soi-même un orgue:   http://pascal.leray.free.fr/web_org/org_building_pipe_organs.html

 

http://www.histoirepassion.eu/spip.php?article458

 

http://www.orgues-barbarie-toulouse.org/dossiers/dossiers.php?id_dossier=107

 

http://musimeca.pagesperso-orange.fr/Porta.htm

 

http://www.roselyne-barbarie-orgue.com/page5b.htm

 

http://www.csfconsultant.com/PBCPPlayer.asp?ID=210872

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 





 

 

Nous reviendrons, dans un prochain article, sur les orgues d'Alsace.

Sur les 10 000 orgues à tuyaux que l'on dénombre en France, 1200 se trouvent en Alsace, dont 176 sont classés monuments historiques!

 

 

 

 

 

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13 mai 2010 4 13 /05 /mai /2010 02:30

 

 

Fichier:Bechstein D280 top view.jpg

Un piano à queue vu de dessus

 

 


Le piano est un instrument de musique polyphonique à clavier de la famille des cordes frappées. Le son du piano est produit par la vibration de ses cordes tendues sur un cadre rigide horizontal (piano à queue) ou vertical (piano droit), placé au-dessus de la table d'harmonie. Elles sont frappées par des marteaux couverts de feutre, actionnés par l'enfoncement des touches du clavier. La vibration des cordes est stoppée par un étouffoir lorsque la touche du clavier est relâchée.

 

Invention du piano-forte 

Créé au début du XVIIIe siècle par l'italien Bartolomeo Cristofori, à Florence, sous l'appellation de piano-forte, le piano naît de l'évolution d'un instrument appelé clavicorde (XVe siècle) et du tympanon (Moyen Âge).

La date de fabrication du premier piano-forte par Bartolomeo Cristofori est incertaine, mais un inventaire réalisé par ses employeurs, la famille Médicis, indique l'existence d'un instrument en 1698. Cristofori n'aura construit en tout qu'une vingtaine de piano-forte avant sa mort en 1731, et seuls trois d'entre eux sont parvenus jusqu'à nous, datés des années 1720.

Les premiers piano-forte ont particulièrement profité des siècles de travaux et de perfectionnements apportés au clavicorde, notamment par le raffinement des méthodes de construction des structures (en bois à cette époque), ainsi que celles de la conception de la table d'harmonie, du chevalet et du clavier. Cristofori était lui-même un facteur de clavicordes et de clavecins, bien au fait des techniques de fabrication de tels instruments et des connaissances théoriques associées à celles-ci.

La découverte fondamentale de Cristofori est la résolution d'un problème mécanique intrinsèque aux pianos : les marteaux doivent frapper les cordes mais cesser d'être en contact avec elles une fois frappées afin de ne pas étouffer le son ; ils doivent de plus retourner à leurs positions initiales sans rebondir violemment et ceci rapidement pour permettre aux notes d'être répétées à une vitesse satisfaisante.

Les premiers instruments du facteur italien étaient construits avec des cordes fines et pour cette raison beaucoup moins sonores que les clavicordes ou les clavecins de leur temps. En deux siècles on assistera à un renversement complet du concept d'instrument à cordes frappées : faible tension des cordes, corps sonore léger et audition de la table contre forte tension des cordes, corps sonore lourd et audition de la corde. Néanmoins, comparé au clavicorde, le piano forte amélioré permettait des nuances dynamiques et sonnait bien plus fort, avec une tenue de note plus longue.

 

Fichier:Fortepian - mechanizm angielski.svg

 

Mécanisme d'un piano à queue

 

Fichier:Pianino - mechanizm angielski.svg

Mécanisme d'un piano droit




Lire la source sur wikipedia/Piano





The piano is a musical instrument played by means of a keyboard. Widely used in Classical music for solo performances, ensemble use, chamber music, and accompaniment, the piano is also very popular as an aid to composing and rehearsal. Although not portable and often expensive, the piano's versatility and ubiquity have made it one of the world's most familiar musical instruments.

Pressing a key on the piano's keyboard causes a felt-covered hammer to strike steel strings. The hammers rebound, allowing the strings to continue vibrating at their resonant frequency.[1] These vibrations are transmitted through a bridge to a sounding board that couples the acoustic energy to the air so that it can be heard as sound. When the key is released, a damper stops the string's vibration. See the article on Piano key frequencies for a picture of the piano keyboard and the location of middle-C. Pianos are percussion instruments. According to the Hornbostel-Sachs method of music classification, they are grouped with chordophones.

The word piano is a shortened form of the word pianoforte, which derives from the original Italian name for the instrument, clavicembalo [or gravicembalo] col piano e forte (literally harpsichord capable of playing at the normal level, or more strongly). The musical terms "piano" and "forte" are usually interpreted as "soft" and "loud", but this is not strictly what they mean in Italian. "piano" means here a plane or level, suggesting the normal level of playing. "Forte" would mean a stronger, more powerful level of playing, effectively louder than usual.

This refers to the instrument's responsiveness to keyboard touch, which allows the pianist to produce notes at different dynamic levels by controlling the speed with which the hammers hit the strings.


Read more here!








LIENS







Comment on fabrique un piano!





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COMMENT EST CONSTRUIT UN PIANO ?

 




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Pianos Balleron

à Paris depuis 1902

C'est ici!






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Philippe JOLLY Facteur de Piano forte

 

 

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Livres sur la facture du piano

 


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Les pianos Playel: cliquez sur l'image pour y aller!
http://www.pleyel.fr/img/commun/visuel-gamme-queue.jpg




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Piano virtuel



pour s'amuser!

 




Plus sérieux... pour apprendre les accords

 

Non seulement le piano virtuel est un instrument virtuel sur lequel vous pouvez jouer des accords et des mélodies,
Il vous montre comment jouer toutes les cordes (triades) dans avec les douze touches.
C'est un excellent outil pour apprendre à jouer du piano, transposer les chansons dans n'importe quelle clé ou
l'écriture de chansons.
Avec le piano virtuel en ligne, vous pouvez jouer les progressions d'accords pour des milliers de chansons et
voir comment jouer les accords sur un piano réel tandis que vous les jouez sur le piano virtuel,
sans avoir à apprendre à lire la musique!
Pour jouer de simples notes, il suffit de cliquer sur les notes.
Pour jouer des accords, cliquez sur les numéros 1 à 7 juste sous le clavier de piano, ou appuyez
sur les 1 à 7 séquences de touches sur votre clavier d'ordinateur.
Choisissez une clé différente en cliquant sur l'un des douze boutons sélecteur de clé.
En appuyant sur le "plus élevé" ou "plus faible" bouton, ou en appuyant sur les touches gauche ou droite ça va
inversier la corde supérieure ou inférieure en hauteur.

 

ou encore ici

 

 

 

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Festival International de piano de La Roque d'Antheron

du 23 juillet au 22 août 2010

 

 







 



































http://sublevels.free.fr/tessiture-des-instruments/piano.gifhttp://sublevels.free.fr/tessiture-des-instruments/

http://www.piano-digital.com/wp-content/uploads/2008/01/piano-glace.jpghttp://www.piano-digital.com/



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4 octobre 2009 7 04 /10 /octobre /2009 02:30


Et bien aujourd'hui, nous allons voir la fabrication d'un trombonne à coulisse. Ceux qui ont lu le billet sur la trompette vont s'appercevoir que le processus est quasiment identique.

Mais ce petit film apporte des précisions que le précédent article n'abordait pas.

Alors voila, c'est pour le plaisir des yeux, et celui du travail bien fait










Christian Lindberg Trombone Concerts



Jimmy Cleveland - Trombone: Posterity




Star & Stripes - Trombone



Pugh/Taylor Project - Trombone Quartet








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20 septembre 2009 7 20 /09 /septembre /2009 02:30


http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/9/91/Flute.jpg


La flûte traversière est un instrument à vent de la famille des bois. La flûte traversière partage avec les instruments de la famille des flûtes. La méthode de production du son : l'air soufflé est mis en vibration par un biseau disposé à l'embouchure.

Contrairement à la flûte de Pan, la flûte traversière ne comprend qu'un seul tuyau. Le terme de traversière est lié à la position de jeu de l'instrument (par opposition à de nombreuses autres flûtes, la flûte à bec en particulier) : l'instrument est joué de manière latérale à l'axe du flûtiste.



* La flûte traversière ou grande flûte, en ut

Elle est constituée de 3 sections : la tête, le corps et la patte (d'ut ou de si en fonction du modèle). Elle mesure environ 67 centimètres, cela dépend si la flûte comprend ou non une patte de si (pour jouer le si grave). Elle a une étendue d'environ 3 octaves, à partir du do grave (ou du si). Son son peut être diaphane, pénétrant, large, pétillant, piquant, chaud, froid, joyeux ou triste... La flûte est souvent utilisée comme instrument solo dans les orchestres, orchestres à vent ou ensembles de flûtes. Lorsqu'elle est en bois, on l'appelle "traverso".




Fonctionnement


La flûte traversière doit son nom à la façon dont on la tient : sur la droite et horizontalement.

La grande flûte se compose de trois parties séparables :

  • * Une tête, aussi appelée embouchure. Elle comprend une plaque percée d'un trou ovale dans lequel on souffle pour produire le son. L'extrémité supérieure de l'embouchure est fermée par un bouchon de bois ou de liège tenu entre deux plaques de métal. L'accord de l'instrument est effectué en enfonçant plus ou moins l'embouchure dans le corps ce qui a pour effet de modifier la longueur de la colonne d'air.

  • * Un corps qui porte des clés actionnées par les doigts. Les clés servent à boucher les trous afin de produire les différentes notes.

  • * Une patte qui prolonge le corps principal. La patte porte également plusieurs clés et peut être en ut ou en si. Elle est alors appelée "patte d’ut" ou "patte de si".


L'instrumentiste émet un filet d'air qu'il dirige sur le biseau du trou de l'embouchure. La mise en vibration de la colonne d'air contenue dans le tuyau de la flûte produit le son. La fréquence de ces vibrations, et donc la hauteur de la note émise, dépend de la longueur acoustique de tuyau mise en vibration. Cette longueur peut être modifiée par la combinaison d'ouverture et de fermeture des trous (les doigtés). Le flûtiste produit alors les notes du registre grave de l'instrument. Pour jouer dans les registres medium et aigu, le musicien modifie l'angle d'attaque et la pression de l'air sur l'embouchure. Le son ainsi obtenu correspond aux harmoniques du son fondamental. La pression et la vitesse de l'air influent également sur le timbre du son et la justesse des notes.
























LIENS



http://www.google.fr/images?q=tbn:OpFBXe6tmRcNdM::www.lotp.fr/drapeau_francais.jpg


http://la-flute-en-chantier.com/images/homecenter.jpg








http://www.google.fr/images?q=tbn:I8hvO837wIFAiM::www.dynamictic.info/wp-content/uploads/2007/12/anglais.gif











Rameau - Pièces de clavecin en concert N° 3 (La Timide)







Telemann - Quatuor Parisien N°12 (Chaconne) / Il Giardino Armonico







Flûtistes classiques


A
B
C
D
E

F
G
H
J
L
M
N
P
Q
R
S
T
V
W






Jethro Tull



http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/6/6c/Ian_Anderson_OJT_1200.jpg

Jethro Tull est un groupe de rock britannique progressif formé dans la seconde partie des années 1960. Leur musique est marquée par un style vocal très particulier (une voix nasillarde mais remarquablement juste) et le travail unique de flûtiste du leader Ian Anderson, et par des constructions de chansons inhabituelles et souvent complexes (pour du rock). Leur musique incorpore des éléments de musique classique et celtique, blues (surtout à leurs débuts) ainsi que des phases art rock alternatif du rock. Malgré ceci, il est difficile de désigner des artistes spécifiques ayant directement influencé ou étant directement influencés par Jethro Tull. Plus que la plupart des autres groupes, leur musique reste à l'écart du reste de la musique rock.



On y reviendra sur Djet Rotule...sur!

http://www.noseque.net/wordpress/media/imagenes/JethroTull.JPG













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1 septembre 2009 2 01 /09 /septembre /2009 02:30


  http://upload.wikimedia.org/wikipedia/fr/5/5b/Trompette_Sib.jpg
Apres avoir vu comment on fabriquait un violon et une guitare , voici le tour de la trompette.

On peut très bien écouter un musicien de jazz comme Louis Armstrong jouer de la trompette sans pour autant s'interresser à son instrument... mais ils vont de paire, et le musicien sans l'instrument, et bien il n'existe pas...

Et faire une trompette, et bien ce n'est pas si simple que ça, surtout lorsqu'elle a des pistons...
















http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/d/d3/Gamme_clairon.jpg



Doigté des instruments à pistons



Pour les instruments à trois pistons, en particulier les petits cuivres, comme la trompette, ou le cornet à pistons la modulation de la note s'opère à la fois par un contrôle du mode harmonique de résonance et la modification de la note fondamentale par l'allongement artificiel de la colonne d'air.


http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/b/bf/3_pistons.jpg

Harmoniques de la gamme naturelle



Le jeu des instruments à cuivre repose en grande partie sur la maîtrise des modes harmoniques. Aujourd'hui encore, le clairon ou le cor de chasse ne disposent que de ce moyen pour moduler la hauteur de note. La transition est obtenue par une variation de la tension des lèvres. Les notes ainsi obtenues sont encore trop écartées. Le recours aux pistons permet de modifier la tonalité naturelle de l'instrument et ainsi de décaler sa série d'harmoniques.



lire sur Wikipedia




intervalle exemple illustration repérage
naturelle Do 0
1/2 ton Do > Si 2
1 ton Do > Si\flat 1
1 ton 1/2 Do > La ou 12 ou 3
2 tons Do > Sol# 23
2 tons 1/2 Dol > Sol 13
3 tons Do > Fa# 123





Histoire de la trompette
Les premières trompettes ont été inventées dans l'Antiquité, elles apparurent en Égypte il y a plus de trois mille ans. Trois trompettes ont d'ailleurs été retrouvées dans le tombeau de Toutânkhamon. En Grèce, la trompette alors appelée salpinx était considérée comme une discipline olympique. On y trouvait trois épreuves : le son le plus fort (avec le plus de décibels), le son portant le plus loin, et le son le plus aigu. En Australie, il existe une sorte de trompette, qui est par ailleurs le seul instrument soufflé des aborigènes : le didgeridoo.

La trompette au XVIII e siècle

La crise de la trompette a duré soixante-cinq ans (1750-1815). D’une part, l’art du clarino avait atteint un sommet difficile à dépasser et d’autre part, l’apparition de l’idéal bourgeois faisait incarner à la trompette un aspect héroïque démodé. L’époque classique montre un brusque changement dans la fonction des trompettes. Après avoir rempli une fonction héroïque qui donne le ton sous forme mélodique, la trompette se fond maintenant dans les tutti. Pour continuer à jouer son rôle héroïque, elle ne fait que couronner brièvement les crescendo. Elle doit s’adapter à la variété des tonalités, on voit donc apparaître des trompettes en fa, sol, si ou la. Dans le classique, le registre du clarino ne monte plus aussi haut que dans le baroque : on monte rarement au-dessus du sol (juste au-dessus de la portée), parfois on rencontre un la ou un do mais très rarement.

lire la suite




Liens


Jouer de la trompette!
http://accel21.mettre-put-idata.over-blog.com/498x170/0/57/16/72/trompette.jpg




@ccueil




Biographie


http://www.121musicblog.com/wp-content/uploads/2007/09/chet_baker.jpg

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22 août 2009 6 22 /08 /août /2009 02:35

http://www.washburn.com/images/headers/HistoryHeader.jpg



Cette page pourrait être considérée comme une page de pub (ce qu'elle n'est pas).
C'est l'histoire d'une Guitare.


je joue / I play a:
Washburn D66SW Prairie Song Custom
#803390 
depuis /since 1980
















Sitka Spruce top with Indian Rosewood back and sides. Maple binding to the body, fingerboard and headstock. Ebony fingerboard with wood 'fingernail' inlays. Mahogany vee profile neck. Enclosed chrome tuners. Wood/fibre rosette. Woos scratchplate. With hard case. This lovely mature Washburn sounds evenly balanced across the strings with excellent mid range depth underpinned by mellow bass.

http://www.grouseguitars.com.au/images/washburn/washburn7.jpg


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http://www.google.fr/images?q=tbn:I8hvO837wIFAiM::www.dynamictic.info/wp-content/uploads/2007/12/anglais.gif
The History of Washburn




George Washburn started making guitars in 1864 .. the company has changed hands many times since then ..Washburn guitars had a fire sometime in the 1920's that destroyed everything, including all records and paperwork that they had prior to the day of the fire ... then the same thing happened again in the 1950's !! ...

* (See at the end of this page for more informations)


---ooo---




Some stories demand to be told. Others are simply content on being heard. Heard through music, through lyrics, through a cultural revolution. This is the story of Washburn Guitars.

 

Steeped in the tradition of fine instrument making, Washburn Guitar’s dynamic 120-history began in Chicago in 1883. The original guitar factory was located just blocks away from Maxwell Street.

 

http://www.burnsbizarre.com/home/maxwellstreet1939.jpg Maxwell Street, Chicago U.S.A., 1939

 

 


In the early 1920s, Maxwell Street itself would emerge as the epicenter of a musical movement. Often considered the first entry point for thousands of African-Americans arriving from the Mississippi Delta, Maxwell Street became a hotbed for Delta Blues in its most raw and dramatic form. Newcomers and established musicians alike would listen and jam with one another in an atmosphere void of commercial influence. Once recorded, this powerful, emotional style of music would not only become the dominant form of blues but would radically change the emerging sound of rock and roll.


There, on Maxwell Street, as well as in alleyways, city sidewalks, bars, and honky-tonks around the country, Washburn guitars were embraced as the very embodiment and reflective spirit of the hard-working musicians who played them as well as the employees who designed and crafted them. It is the same spirit that guides Washburn to this day.

 

The history of Washburn Guitars is the history of a wide range of musicians. From blues players who shaped rock ‘n roll to multi-platinum recording artists to emerging guitar virtuosos. It is a history that can be heard and experienced every time you turn on the radio or listen to a live performance. It is a history built by skilled craftsmen and musicians who share one common love–a passion for the guitar.

 

Washburn continues to be a consistent leader in combining design, innovation, and technology to deliver the rich, bold sounds for a vast musical landscape.




clic
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L' Histoire de Washburn


Washburn france, le site




George Washburn a commencé à fabriquer des guitares en 1864 .. la société a changé de main plusieurs fois depuis lors.. L'atelier Washburn fut détruit par un incendie en 1920, feu qui a tout détruit , y compris tous les enregistrements et les documents papiers qu'ils avaient avant l'incendie ... la même chose est arrivée de nouveau en 1950!!..

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Certaines  histoires exigent d'être racontées. D'autres sont simplement à écouter. Ecoutées à travers la musique, les textes, la révolution culturelle. Et c'est précisément l'histoire des Guitares Washburn.


Trempé dans la manufacture traditionnelle d'excellents instruments, l'histoire de Washburn  a commencé à Chicago en 1883. La premier atelier de guitares était localisé juste à quelques pâtés de maisons de Maxwell Street.


Au début des années 1920, le quartier de Maxwell Street  apparaît comme l'épicentre d'un mouvement musical naissant. Souvent considéré comme le point d'entrée pour des milliers d'Afro-américains arrivant du Delta du Mississippi, Maxwell Street  devient le berceau du Delta Blues dans son aspect le plus brutal et dramatique. Les nouveaux venus et les musiciens déjà établis s'écoutent entre eux dans une atmosphère dépourvue d'influence commerciale. Une fois enregistré, ce style de musique puissant, émotionnel  deviendra non seulement la forme dominante du blues, mais changera radicalement le son émergent du rock 'n' roll.

Là, sur Maxwell Street, aussi bien dans les ruelles que sur les trottoirs de la ville, ou les bars de toute la région, les guitares Washburn ont été considérées comme l'incarnation et l'esprit même des musiciens qui les ont joués et des salariés qui les ont conçu et ouvrés.

C'est le même esprit qui guide Washburn à ce jour.

L'histoire des Guitares Washburn c'est l'histoire d'une vaste famille de musiciens. Des musiciens de blues qui ont créé le rock ‘n roll aux artistes virtuoses ou émergents. C'est une histoire que l'on peut entendre chaque fois vous vous tournez vers la radio ou écoutez un concert. C'est une histoire façonnée par des artisans qualifiés et des musiciens qui partagent une passion commune pour la guitare.

Washburn continue à être un leader dans la conception , l'innovation et la technologie pour livrer des sons riches et hardis pour un large évantail musical .






visite de l'usine: cliquez ici












 
Washburn Guitars
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How to build guitars
Comment on fabrique une guitare



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part 1

 





part 2: le manche






part 3: la table





part 4: les éclisses





part 5: finition et montage du manche




http://www.google.fr/images?q=tbn:OpFBXe6tmRcNdM::www.lotp.fr/drapeau_francais.jpg

Comment on fabrique une guitare industriellement!










comment on fabrique une guitare électrique











Hello,

I wanted to correct some misinformation you have published in your "Washburn" page of the web site (http://www.ducksdeluxe.com/washburn.html) concerning Washburn Guitars. As the proud owner of a turn of the century Washburn, I have done quite a bit of research on the company.

Your page states:

"George Washburn started making guitars in 1864 .. the company has changed hands many times since then ..Washburn guitars had a fire sometime in the 1920's that destroyed everything, including all records and paperwork that they had prior to the day of the fire ... then the same thing happened again in the 1950's !!"

First of all "George Washburn" was George Washburn Lyon - Washburn was his middle name. He was not a guitar maker - he was a businessman. His partner, P.J. Healy, was the guitar maker. The Lyon & Healy Company was the Chicago branch of the Oliver Ditson Company - a very large sheet music distributing company. They did found the L&H company in 1864, but the company didn't start manufacturing guitars until 1888.

L&H started as a music publisher in 1864. They later marketed several brands of instruments - Lyon leant his middle name to the fretted variety. Healy supervised the factory, which during their peak production years, turned out as many as 100 guitars per day! They were the main supplier of stringed instruments for the various mail order catalogs, such as Montgomery Ward and Sears, until Harmony and Kay assumed that distinction with lines of considerably lower quality instruments in the late 1920s.

The Washburn brand was sold to the Tonk Brothers - who also owned the Regal brand, in 1928 or 29. Regal made guitars under the Washburn label for a few years after that, then the brand was discarded. As far as I can determine, early Washburn serial numbers were pretty haphazard and never gave any indication of date of manufacture.

By the way - my research indicates that the fire happened before the turn of the century (in the1880's). The original Washburn brand disappeared in the 1930's. There was no fire in the 1950's because there was no Washburn Company then. In fact, there never was a Washburn Company until the brand name was revived in 1964. There is no connection whatsoever between the current Washburn brand guitars and the Washburns of the 19th and early 20th century.


Thanks for listening.

Regards,

Earl Oliver

 












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26 mars 2009 4 26 /03 /mars /2009 19:44

C'est bête, mais parfois il m'arrive de me demander comment on fabrique telle ou telle chose, et je ne vais pas plus loin dans mon questionnement.

Je me suis décidé à franchir le pas...même si j'ai déjà des notions concernant la fabrication des guitares.

Alors voilà pour ceux qui se demandent comment est fabriqué un violon. Lorsque l'on regarde les différentes phases de l'oppération on se dit que c'est très simple...Mais il faut l'oeil du maître pour savoir si la table a la bonne épaisseur, ou si le bois utilisé est le bon...en fait, il faut des années pour fabriquer un bon violon... et il faut avoir l'oreille musicale pour percevoir les multiples et infimes variations  des sons qui sortent de l'instrument.

Tout le plaisir d'un concerto de Bach débute dans la fabrication de l'instrument...


Ce film est en anglais




Celui-ci est muet mais les différentes phases de la fabrication sont bien filmée




Hilary Hahn au violon
Concerto in La mineur BWV 1041, 3è mouvement allegro assai de Bach



Hilary Hahn joue Paganiniana







Sergey Khachatryan - Fantasía Carmen






LES LUTHIERS:
Yan Poulain
Ecole Nationale de Lutherie de Mirecourt
Un site à voir ici


Devenir luthier
http://portail.lutherie.free.fr/



Perrichon Patrick
Coordonnées principales
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    • .04 75 70 34 59
Informations
  • Perrichon Patrick
  • Fabration de violons modernes et baroques
    restauration - vente :
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    •  luthiers
 

SYLVAIN DEPLACE - ATELIER DE LUTHERIE

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Spécialiste Violon, Alto et Violoncelle.




Denis CABAN - luthier violon

 Contact: denis.caban@wanadoo.fr

 

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