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18 février 2009 3 18 /02 /février /2009 09:26


Yankovic le comic street!

C'est par un pur hasard bien mérité du reste, moi qui adore le comique de situation, que je vis pour la première fois ce clip du temps où j'avais encore la Télé, et ça remonte bien à fin des années 80...pas1800, 1900

Complètement  éclaté de rire, je courrus alors chez mon disquaire préféré, la Fnac!, ...et oui, je suis désolé mais les disquaires de mon adolescence avaient depuis logtemps disparu du paysage cit..ado-commercial, si je puis m'exprimer ainsi (pour plus de compréhension sur ce sujet voir la page de ... Willie Nelson) et je racontais au brave vendeur en face de moi ce que j'avais vu, ne connaissant pas du tout le nom du type qui se trémoussait au rythme de "Bad"  sur le CD que j'étais venu chercher ...et miracle, après avoir fouillé dans un bac il me tandis le CD tant convoité: Even Worse de "Weird al" Yankovic.


De retour chez moi, au chaud..., ou au frais?, en fait je ne sais plus à quelle époque je me suis procuré cette galette, peu importe, je la mis dans le mange CD, et là...la frite! Ouai! mais y a juste un petit problème...c'est qu'il faut maîtriser l'anglais pour bien comprendre les parodies...parceque les mélodies ont les connaît, et encore, pas toute, mais les textes, là, c'est autre chose!...

Alors, pour ceux qui n'ont pas de grandes notions d'anglais, voici un clip et sa parodie...rien que pour la rigolade...mais quelle rigolade!


Tout le monde connait ce clip des années 80?...





Il sagit de Bad ( Mauvais in french!) de Micheal Jackson, ...non ce n'est pas le frère de Jackson MacKay, ça se saurait, surtout à Uffholtz, pensez bien!

...mais qui connaît la parodie?: Fat ( Gros in french to!) Personne! Alors ne restez pas ignorants encore longtemps...cliquer et ...savourez! ça vaut le coup d'oreille et d'oeuil!

MAIS ATTENTION!........pour bien apprécier la parodie, il faut avoir vu le clip original...car tout y est...même le japonais à côté de MJ, mais en plus gros, en fait il faut bien s'imprégner des détails...

(désolé mais je n'ai pas pu importer la vidéo car son exportation est désactivée, il va donc falloir que vous alliez sur You tube :







... ici c'est son site perso...
...et ici sa bio in englich please!...
...et ici vous pouvez écouter d'autres morceaux...


....une autre....une autre....une autre....une autre....une autre....une autre....une autre....une autre....une autre....une autre....une autre....une autre




....une autre?

alors voilà...Beat it...



et la version remaniée...

...Eat it....

On voit que yankovic est porté sur la bouffe!


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18 février 2009 3 18 /02 /février /2009 09:05


Biography:

Singer/songwriter Craig Morgan was an army brat before he opted for a career in music. Born and raised in Nashville, Morgan was already a country music fan with dreams of playing guitar and making it big. But before his musical dreams could become reality, Morgan spent time serving in the U.S. Army, where he had a very respectable career and achieved high honors during peace and wartime. It was also during this time that Morgan whetted his guitar-playing styles to perform for troops whenever he could. Such passion led to a deal with Atlantic and a spot out of the service. His self-titled debut was released in May 2000. His next three albums, 2002's I Love It, 2005's My Kind of Livin', and 2006's Little Bit of Life, all appeared on Broken Bow Records. ~ MacKenzie Wilson, All Music Guide



That's What I Love About Sunday


Lyrics to That's What I Love About Sunday :

Raymond's in his Sunday best,
He's usually up to his chest in oil an' grease.
There's the Martin's walkin' in,
With that mean little freckle-faced kid,
Who broke a window last week.
Sweet Miss Betty likes to sing off key in the pew behind me.

That's what I love about Sunday:
Sing along as the choir sways;
Every verse of Amazin' Grace,
An' then we shake the Preacher's hand.
Go home, into your blue jeans;
Have some chicken an' some baked beans.
Pick a back yard football team,
Nothin' much of anything:
That's what I love about Sunday.

I stroll to the end of the drive,
Pick up the Sunday Times, grab my coffee cup.
It looks like Sally an' Ron, finally tied the knot,
Well, it's about time.
It's 35 cents off a ground round,
Baby. cut that coupon out!

That's what I love about Sunday:
Cat-napping on the porch swing;
You curled up next to me,
The smell of jasmine wakes us up.
Take a walk down a back road,
Tackle box and a cane pole;
Carve our names in that white oak,
An' steal a kiss as the sun fades,
That's what I love about Sunday,
Oh, yeah.

Ooh, new believers gettin' baptized,
Momma's hands raised up high,
Havin' a Hallelujah good time
A smile on everybody's face.
That's what I love about Sunday,
Oh, yeah.

That's what I love about Sunday,
Oh, yeah.




                                .....oooOOOO00000§00000OOOOooo......
Redneck Yacht Club

Lyrics to Redneck Yacht Club :

i'm meeting my buddies out on the lake
we're headin out to a special place
we love that just a few folks know
there's no signing up, no monthly dues
take your johnson, your mercury or your evinrude and fire it up
meet us out at party cove
come on in' the waters fine
just idle on over and toss us a line

(Chorus:)
basstrackers, bayliners and a party barge,
strung together like a floating trailer park anchored out and gettin loud
all summer long side by side there's five houseboat front porches astroturf,
lawn chairs and tiki torches
regular joes rocking the boat that's us
the redneck yacht club

bermuda's' flip-flops and a tank top tan
popped his first top at ten a.m., thats bob
he's our president
we're checking out the girls on the upper deck rubbin' in 15 spf, its hot
everybody's jumpin' in
later on when the sun goes down
we'll pull out the jar and the old guitar
and pass'em around

repeat chorus

when the party's over and we're all alone
well be making waves in a no wake zone

repeat chorus






Site: Craig Morgan



1 Little Bit of Life Craig
2 International Harvester
3 Tough
4 I Am
5 The Ballad of Mr. Jenkins
6 Nothin' Goin Wrong Around Here
7 Sweet Old Fashioned Goodness
8 I Guess You Had To Be There
9 The Song
10 My Kind of Woman
11 Look At 'Em Fly







Craig Morgan - Tough (Official Music Video) - Free videos are just a click away


Craig Morgan - Love Remembers (Official Music Video) - These bloopers are hilarious






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18 février 2009 3 18 /02 /février /2009 08:54
Clay Alston
Country




  "I was born and raised in DeRidder, Louisiana.  At the age of 10, I learned how to play the guitar and had all the Hank Williams Sr. and Johnny Cash albums memorized.  I’ve worked hard all my life and I’ve got the best family and friends that a person can have in a lifetime". Clay Alston

(Je suis né et j’ai grandi à DeRidder en Louisiane. A l’age de 10 ans, j’ai appris à jouer de la guitare et j’ai mémorisé tous les albums de Hank Williams Sr. et Johnny Cash. J’ai travaillé dur toute ma vie et j’ai la meilleure famille et les meilleurs amis que l’on puisse avoir dans une vie.)




Clay Alston...pour écouter

ici... ou bien ici...

Clay Alston...le site officiel


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17 février 2009 2 17 /02 /février /2009 23:43





Cliquez sur le gramophone pour écouter:










L'Australie offerte à Jackson Mackay

Jean-Michel Eblé, Jackson Mackay pour ses fans, s'est envolé pour l'Australie. Il est l'invité de Lee Karnaghan, le n° 1 de la country music australienne au Festival de Tamworth.

Le Bi-Centenial Park Festival, c'est un événement musical monstrueux... Sur dix jours, en plein été dans l'hémisphère sud, entre le 11 janvier et le 8 février, il rassemblera pas moins de 500 000 spectateurs. Pour Jackson Mackay, et sa country made in Uffholtz, 20 000 auditeurs sont déjà prévus  ! Puis s'enchaîneront une vingtaine de concerts à travers tout le pays, avec comme point d'orgue le Victorian Music Awards où Jean-Michel Eblé se produira avec les plus grands countrymen de la scène locale ...
L.G.Source DNA


....oooo0000§0000oooo....


[...]Jackson Mackay s'est produit sur la scène country française. Musicien depuis de nombreuses années, Jackson a un parcours riche et varié. Après avoir appris l'orgue et des passages remarqués dans les églises de son Alsace natale, il se met à la guitare basse puis la guitare.

Il a plusieurs cordes à son arc. Créateur de musique New Age, il a de nombreux Cd à son actif (sous le nom de Tim mac Brian). Il a sa propre maison de production, une société d'évènementiel, il écrit de nombreuses chansons.

Jackson Mackay est avant tout un créatif. Il a besoin de faire, d'agir, d'avancer. Après de nombreuses années où il a accompagné de nombreuses vedettes allemandes, ou américaines, comme RB Stone et Bonnie Jeanne Taylor, le voici désormais sur scène avec son propre groupe et son répertoire personnel.
Sa nomination aux premiers French Country Music Awards, l'a aidé à faire distribuer son dernier CD Highway to Country.
Dans cette interview, il nous parle de son parcours, de ces ambitions pour le présent et le futur dans la musique Country. …(extrait du site country webzine...y aller!)


....oooo0000§0000oooo....





Un extrait de son site perso (à visiter...)

Border Lands a été créé au coeur de ma région natale qu’est l’Alsace. Imprégné de son mélange très fort de cultures, j’y ai puisé mon inspiration pour y décrire des scènes et des tranches de vies de ses habitants.
Ici, la puissance de la nature et les montagnes aux formes maternelles sont une invitation constante à la douceur de vivre, aux rencontres et à l’échange. C’est en musique, que je vous invite à découvrir cette terre .
Il y a plusieurs mois, armé d’un stylo, de papier à musique et surtout d’une guitare, j’ai commencé par ébaucher des mélodies et des textes. Rapidement, je me constituais suffisamment de matériel pour au moins deux albums. Le temps passe et l’heure des coupes franches sonne. Après un tri sévère, il reste les chansons qui figurent sur cet album et que vous découvrez certainement à la lecture de ces lignes.

Quand je commençais l’enregistrement des première maquettes le hasard m’a permis de rencontrer Lorraine Duisit. Songwriter, elle vit en Virginie, aux Etats-Unis. les critiques des magazines Billboard ou Whashington Post la décrivent comme «Un impressionnant talent qui sait écrire des chansons de qualité d'une surprenante et subtile sophistication» Avec beaucoup de gentillesse et d’écoute, elle s’est mise au service des histoires que je souhaitais interpréter. Avec finesse et des mots justes, elle à su parfaitement recréer les atmosphères auxquelles je tenais particulièrement. Avec l’aide de Lorraine, l’album prend sa forme définitive.
Commencent alors les enregistrements. C’est un moment que j’adore. J’élabore la direction musicale, les sons des guitares, les amplis et micros. Je suis libre de toute pression, le printemps arrive. Je décortique les mots et les sons, prend mon temps... Bonne écoute !

(Texte copié de son site)



....oooo0000§0000oooo....




LIENS:
…>son site officiel
…>au starter en région parisienne...
…>pour écouter quelques morceaux
…>ses albums...
…>en tournée concerts...
…>lire suite article DNA

…>Australia
…>Tamworth Country Music Festival
…>le programme...


....oooo0000§0000oooo....










Jackson Mackay
Label : Koonda

Réf DG : 23547
Format : CD
3660341235478
Code prix : DG001
2008 - 13 pistes - 61:17 min












Jackson Mackay
Label : Koonda

Réf DG : 11260
Format : CD
3660341112601
Code prix : DG001
2003 - 18 pistes - 72:22 min
























Already seven

Written by: Duisit, Mackay / Mackay

It's Sunday evening
I look to my watch
It's already seven
I'm thinking too much
I stand in the doorway
Turn my face to the breeze
Outside the wind blows
And chases away
All the leaves
Of the old trees
The night is falling
And I take up my watch

It's already seven
I wait for the night
Cause love had no time and passed me by,
Like wind in the trees
Blowing the leaves of love
As time goes by�
It's already seven
It's already seven

The night is too long
I measure what's left
I measure by heartbeat
I measure by breath
I lay here alone
Dreaming of you
Time is all wrong
It's a trick of the mind
Trust in a heart
That knows nothing of time
But tomorrow I'll wake up
And I'll look at my watch








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17 février 2009 2 17 /02 /février /2009 09:15




I grew with Willy Nelson, it is to say if I am not very young any more!
J'ai grandi avec Willy Nelson, c'est dire si je ne suis plus très jeune!

 

 

 

 

 

En 76, à Nashville, j'avais acheté une cassette "Wanted The Outlaws": il y avait Willy Nelson, Waylon Jennings, la belle Jessi Colter et Tompall Glasser. Ce fut une révélation pour moi.

   De retour à Strasbourg, chez un disquaire, (ce sont des magasins que les moins de 30 ans ne peuvent pas connaître, des magasins exclusivement de disques, qui n'existent plus aujourd'hui et qui n'existeront plus, supplantés qu'ils ont été par les grosses usines insipides que je ne nommerais pas), or j'avais trouvé chez ce disquaire, dans les bacs, un autre disque des Outlaws et je me l’étais approprié contre monnaie sonnantes et trébuchantes à un prix exorbitant pour moi à l’époque. Mais voilà, ce n'était pas le même groupe,  pas les mêmes musiciens...mais quel coup au coeur, et j'en tremble encore.

  Il faut aller sur la page concernée pour se rendre compte: Outlaws










Wanted! The Outlaws is an album by Waylon Jennings, Willie Nelson, Jessi Colter and Tompall Glaser, released in RCA Victor in 1976 and consisting of previously released material. Released to capitalize on the new outlaw country movement, Wanted! The Outlaws earned its place in music history by becoming the first country album to sell a million copies. The original liner notes were written by Chet Flippo, a contributor to Rolling Stone, and offer a short introduction and some praise on each artist involved with the project. The album quickly reached #1 on the country charts and peaked at #10 on the pop charts, with two hit singles, "Suspicious Minds" and "Good Hearted Woman", released; the two peaked at #2 and #1, respectively, both featuring Jennings. Wanted! The Outlaws was reissued on CD on RCA Records in 1996 with ten bonus tracks; only one of these, Steve Earle's "Nowhere Road", had previously been unreleased.






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17 février 2009 2 17 /02 /février /2009 09:02

Cole Deggs & the Lonesome


http://www.coledeggsandthelonesome.net/gallery/Fgallery2-5.jpg


Ceux là, je les découvre, comme quoi...



Cole Deggs & the Lonesome is an American country music band founded in 2006 by Cole Deggs ( lead vocals bass guitar ), David Wallace ( lead guitar , vocals), Jimmy Wallace ( keyboards ), and Brian Hayes ( drums ). Cole and Shade Deggs are brothers from Lake Jackson, Texas , David and Jimmy Wallace (who are also brothers) are from Shreveport, Louisiana , and Hayes is a Florida native. Before the band's foundation, Cole Deggs co-wrote songs for other country artists, including an album track for Kenny Chesney Tracy Byrd 's 2006 single "Cheapest Motel".

Cole Deggs & The Lonesome signed to Columbia Records Nashville in 2007, releasing their self-titled debut album that year. The first single, "I Got More," reached #25 on the Billboard Hot Country Songs chart. After the second single, "Girl Next Door," failed to reach the Top 40, Cole Deggs & The Lonesome were dropped by Columbia.

 

Traduction:

Cole Deggs & the Lonesome est un groupe country américain créé en 2006 par Cole Deggs ( lead vocals bass guitar ), David Wallace ( lead guitar , vocals), Jimmy Wallace ( clavier ), and Brian Hayes ( percussions ). Les frères Cole et Shade Deggs sont originaires de Lake Jackson, Texas , les frères David et Jimmy Wallace sont eux de Shreveport, Louisiana , et Hayes est natif de Floride.

Avant la naissance du groupe, Cole Deggs composait pour d’autres artistes country, notamment le morceau "Cheapest Motel" de l’album de Kenny Chesney Tracy Byrd en 2006.

En 2007, le groupe  signe   pour  Columbia  Records Nashville, et lance son premier single, "I Got More," obtient la 25è place au Billboard Hot Country Songs chart. Après le second single, "Girl Next Door," manquant de peu le Top 40, le groupe est lâché par Columbia.

 





PAROLES DE LA CHANSON/

                                                   

Artiste: Cole Deggs And The Lonesome
Chanson: Girl Next Door

I grew up at 303 Pine Street
She grew up at 305
She had my heart by her sixteenth birthday
She got that Vet and took me for a ride, yeah

We slid around Sycamore
Hit 90 on Maple
She fired up a Marlboro and threw me the pack
Cut off a Semi and gave him the finger
Barely beat a train 'cross the railroad tracks

All I ever wanted was the girl next door
Yeah, she was the perfect woman I was never lookin' for
She was a heart breakin', beer drinkin', hell raisin' angel
In those cut off jeans she wore
All I ever wanted was the girl next door

Mama said she met a girl last Sunday
She plays Bingo every Saturday night
Daddy told me 'bout his boss's daughter
Swore "Now boy, she's marrying type"

But all I ever wanted was the girl next door
Yeah, she was the perfect woman I was never lookin' for
She was a heart breakin', beer drinkin', hell raisin' angel
in those cut off jeans she wore
All I ever wanted was the girl next door

She was a heart breakin', beer drinkin', hell raisin' breath takin' angel
In those cut off jeans she wore
All I ever wanted was the girl next door
Yeah, all I ever wanted
All I ever wanted was the girl next door







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16 février 2009 1 16 /02 /février /2009 09:08

En anglais et en allemand en attendant la traduction!...pour bientôt...

Gretchen Frances Wilson (born June 26, 1973 in Pocahontas, Illinois is an American country music artist. She made her debut in 2004 with the Grammy Award -winning single "Redneck Woman," a number-one hit on the Billboard country charts. The song served as the lead-off single of her debut album, Here for the Party. Wilson followed this album one year later with All Jacked Up, the title track of which became the highest-debuting single for a female country artist upon its 2005 release. A third album, One of the Boys, was released in 2007.

 

 

Gretchen Frances Wilson (né le 26 juin 1973 à Pocahontas, Illinois, est une artiste de musique Country Américaine. Elle fait ses débuts en 2004 et est récompense du "Grammy Award" pour son titre "Redneck Woman", en tête du hit parade.  [...]. Wilson fait suivre cet album un an plus tard par "All Jacked Up", dont le titre éponime, à sa sortie de 2005, obtient le meilleur score pour une artiste de Country . Un troisième album, "One of the Boys", est sorti en 2007.

 

 


Overall, Wilson has charted thirteen singles on the Billboard country charts, of which five have reached Top Ten: the Number One " Redneck Woman " , as well as " Here for the Party " (#3, 2004), "When I Think About Cheatin'" (#4, 2004), "Homewrecker" (#2, 2005), and " All Jacked Up " (#8, 2005). The album Here for the Party was certified 5× Multi-Platinum by the RIAA for sales of five million copies, while All Jacked Up was certified platinum and One of the Boys.
  Treize de ses titres ont été classé au "Billboard country charts" , dont cinq ont atteint le Top Dix : le Numéro 1 "Redneck Woman", ainsi que "Here for the Party" (*3, 2004), "When I Think About Cheatin'" (*4, 2004), "Homewrecker" (*2, 2005) et "All Jacked Up" (*8, 2005). L'album "Here for the Party" a obtenue 5fois Le Disque de Platine décerné le RIAA pour la vente de cinq millions d'albums, [...].

 

 



Gretchen Wilson stammt aus einfachen Verhältnissen aus einem Dorf mit etwa 700 Einwohnern. Ihre Mutter war bei ihrer Geburt erst 16 Jahre alt, ihr Vater verließ Mutter und Tochter zwei Jahre später. Im Alter von fünfzehn Jahren zog Wilson aus und arbeitete zunächst als Kellnerin.

 

Gretchen Wilson est de condition modeste et vient d'un village d'environ 700 habitants. Sa mère n'avait que 16 ans à sa naissance, son père quittait le foyer conjugal, abandonnant mère et fille, deux ans plus tard. A l'âge de quinze ans, Wilson déménage et travaille  tout d'abord comme serveuse.

 


1996 beschloss sie - ohne abgeschlossene Ausbildung - nach Nashville zu ziehen, wo Wilson als Background-Sängerin in der „Bourbon Street Blues & Boogie Bar“ in der Printers Alley arbeitete und gleichzeitig Demo-Tapes aufnahm. Im Jahr 2000 wurde sie von den Musikern Big & Rich entdeckt, die sie einige Stücke mit der Hausband singen hörten. Im gleichen Jahr kam ihre Tochter Grace Frances Penner zur Welt.

En 1996 elle décide de se rendre à Nashville, où Wilson travaille comme chanteuse (choeur) au "Bourbon Street Blues & Boogie Bar“" dans la Printers Alley où elle enregistre simultanément des bandes magnétiques de démonstration. En 2000 elle est découverte par les musiciens Big et Rich. La même année, sa fille, Grace Frances Penner, vient au monde.


Schließlich unterzeichnete Wilson einen Plattenvertrag bei Epic Records . Von ihrem Debütalbum "Here for the Party" aus dem Jahr 2003 wurden fünf Millionen Stück verkauft, das Album viermal mit Platin ausgezeichnet. Von der Academy of Country Music Awards wurde sie im selben Jahr in den Kategorien "Top Female Vocalist" und "Top New Artist" ausgezeichnet. Im Jahr 2005 erschien ihr zweites Album "All Jacked Up".

Enfin, Wilson signe un contrat avec Epic Records. Pour son premeir album, en 2003, cinq millions de disques sont vendus", let obtient 4 fois le disque de platine (5?). La même année, l'Academy of Country Music Awards la désigne dans les catégories "Top Female Vocalist"e t"Top New Aritst". En 2005  parrait son deuxième album "All Jacked Up" .


Gretchen Wilson vertritt einen strikt traditionellen Musikstil, angereichert mit Rock-Elementen , in ihren Texten beschreibt sie oft eigene Lebenserfahrungen und Lebensumstände, z.B. als Kellnerin.

Gretchen Wilson représente un style de musique strictement traditionnel, enrichi d'éléments de Rock, et dans ses textes, elle décrit souvent ses propres expériences et conditions de vie, par exemple comme serveuse.



















....ooo000§000ooo...                            


Son site officiel:
Gretchen Wilson
ses albums!



























http://bittenandbound.com/wp-content/uploads/2008/05/gretchen-wilson-gets-ged.jpg



Country western singer Gretchen Wilson can add high school graduate to her list of accomplishment. The 34 year old musician studied for and passed her General Educational Development exam recently, which earns her a high school diploma.

Wilson sold 4.5 million copies of her hot single Redneck Woman and picked up a Grammy too but she was troubled by the fact that she dropped out of school when she was in ninth grade. She became a cook and bartender in rural Illinois and sang in a couple of bar bands before moving to Nashville in 1996. Her breakthrough came in 2003 with Here for the Party.

The singer made it a priority to prove to her seven year old daughter Grace that education is essential in order to be truly successful. She walked the talk and will don cap and gown and take part in a graduation ceremony on May 15th.

Well done Gretchen!

Check out Gretchen’s Redneck Woman video below.




http://blog.mlive.com/grpress/2008/06/large_Gretchen-Wilson-horiz.jpg

http://glosslip.com/wp-content/uploads/2008/05/gretchen.jpg




"Work Hard, Play Harder"











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13 février 2009 5 13 /02 /février /2009 09:12

Michael Peterson

 « La grandeur d’un moment qu’on a vécu se mesure à la force du souvenir qu’on en garde »   - Michael Peterson

    Si cette citation s’avère vraie, Michael Peterson doit avoir connu des moments dignes de toute une vie ces dernières deux années parce qu’il en a certainement fait collection de souvenirs inoubliables. Depuis la sortie de son premier album d’or portant son nom et grâce au succès de trois chansons classées parmi les cinq meilleures tubes dont l’intelligente Drink, Swear, Steal and Lie, la classique des mariages, From Here To Eternity, et l'entraînante Too Good To Be True, Michael Peterson a été reconnu en tant que meilleure révélation masculine de musique country ayant réalisé le plus de ventes en 1997 et en 1998.
   Le succès de Michael à la radio lui a aussi valu d’être désigné comme « la meilleure révélation à l’antenne de l’année 1997 » par Billboard et « l’artiste à suivre de l’année 1998» par Gavin. En 1999, les fans de musique country l’ont élu « la célébrité masculine de demain » aux TNN Music City News Awards.

   Auteur-compositeur créatif et discipliné, Peterson a fait enregistrer ses chansons par des artistes tels que Deniece Williams and The Imperials. Plus récemment, Michael a écrit la chanson titre No More Looking Over My Shoulder de l’album de Travis Tritt mais il s’est aussi réservé quelques bonnes chansons. Michael Peterson est la seule révélation masculine de ces dernières années à être à la fois l’interprète et l’auteur de tous ses tubes. Combinant ces deux talents à des concerts débordant d’énergie et communicatifs, Michael se place dans une catégorie triplement menaçante. Tout cela fait de lui un talent unique et une force créative dans le monde musical d’aujourd’hui.
suite...




Liens:






 Cliquez sur le gramophone pour écouter:

- Play
- Beige Live
- What schould i do
- down on the farm
- etc...










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12 février 2009 4 12 /02 /février /2009 14:30


...Abraham Lincoln





« As I would not be a slave, so I would not be a master. This expresses my idea of democracy. » (De même que je refuse d'être un esclave, je refuse d'être un maître. Ceci représente mon idée de la démocratie.)



Il y à 200 ans, naissait ...

Abraham Lincoln
(12 février 1809 – 15 avril – 1865 Washington) est le seizième président des États-Unis d'AmériqueIl est élu pour deux mandats de quatre ans en 1860 et 1864 sans terminer ce dernier. Il est le premier président républicain de l'histoire du pays.

Son nom est associé à la guerre de Sécession et à l'abolition de l'esclavage.Il meurt assassiné à la suite d'un complot émanant des confédérés au début de son second mandat.





 

Lincoln est un petit avocat de province sans expérience qui devient à la fois un homme politique et un chef militaire efficace au moment où les États-Unis traversent la plus grande crise de leur histoire. L’élection d’un Républicain anti-esclavagiste entraîne immédiatement la création des États confédérés d'Amérique formé de 11 États esclavagistes et, peu après, la Guerre de Sécession. Après des revers initiaux, l'armée des États-Unis sous le commandement du général Ulysses S. Grant, prend le dessus.
 Lincoln rédige la proclamation émancipant les esclaves et signe le 13e
amendement abolissant l'esclavage. Dans son discours d’investiture au début de son second mandat, il se montre conciliant envers les États de l’ex-Confédération et lance un programme de reconstruction qui ne vit pas le jour en raison de son assassinat par un extrémiste pro-Confédéré.



Lincoln est élu à la présidence essentiellement en raison des dissensions au sein du Parti démocrate. Au cours de son mandat, il est critiqué au sein de son propre parti car la guerre est longue et coûteuse et beaucoup d’Américains ne voient pas de raison de se battre pour le droit des Noirs. Il sera malgré tout réélu car l’Union est opportunément victorieuse sur le champ de bataille au moment du vote.


Politique concernant les droits civiques, les minorités et l’immigration:


Avant d’être élu président, et pendant sa campagne électorale en particulier, Lincoln avait fait plusieurs déclarations indiquant clairement son opposition à l’esclavage au nom de principes moraux. Il restera dans l’histoire comme l’auteur de la Proclamation d’émancipation des esclaves mais certains critiques ont noté que sa priorité était liée à la restauration de l’Union, pas aux droits civiques des esclaves. "Si je pouvais sauver l'Union sans libérer un seul esclave, je le ferais; si je ne pouvais la sauver qu'en les libérant tous, je le ferais aussi... Cela est ma position officielle et n'a rien à voir avec mes convictions personnelles... J'ai dit assez souvent que, selon moi, tous les hommes, partout, devaient être libres..."

Malgré ses positions anti-esclavagistes qui lui sont dictées par son sens moral, Lincoln ne croit pas en l'égalité des races. En effet, il va même jusqu'à affirmer :

«  ... Je dirai donc que je ne suis pas et je n'ai jamais été en faveur de l'égalité politique et sociale de la race noire et de la race blanche, que je ne veux pas et que je n'ai jamais voulu que les Noirs deviennent jurés ou électeurs ou qu'ils soient autorisés à détenir des charges politiques ou qu'il leur soit permis de se marier avec des Blancs. [...] Dans la mesure où les deux races ne peuvent vivre ainsi, il doit y avoir, tant qu'elles resteront ensemble, une position inférieure et une position supérieure. Je désire, tout autant qu'un autre, que la race blanche occupe la position supérieure . »




Son enfance:

"Abe l'honnête", comme il est généralement surnommé, est donc né le 12 février 1809 dans le Comté de Hardin dans l'Etat du Kentucky. C'est à cette époque que les Etats-Unis débutent leur expansion vers l'Ouest et il vit parmi les pionniers du Kentucky, dans une minuscule cabane en rondins. Son père est en effet un paysan installé en bordure des terres colonisées, il perd sa femme lorsque Abe n'est âgé que de 9 ans.

Abe apprend donc à couper du bois et à fabriquer des clôtures mais il montre également un goût pour la lecture ce qui étonne son père et sa nouvelle femme puisqu'il va très peu à l'école.

Il tente d'échapper au sort du malheureux paysan de la Frontière et se met à travailler dans un magasin de son village. Très robuste, il se fait une réputation en tant que lutteur et participe à la guerre contre les indiens Black Hawk. Il part dans un premier temps s'établir à New Salem dans l'Illinois où il est nommé receveur de poste avant de partir s'installer à Springfield; il débute alors des études de droit.

A l'époque, Lincoln est décrit comme un jeune homme maladroit et timide mais c'est également un homme ambitieux qui n'hésite pas à prendre la parole pour les sujets qui lui tiennent à coeur.

En 1842, il rencontre sa future femme Mary Todd; ils ont quatre enfants dont un seul atteindra l'âge adulte

Lincoln est élu au Congrès des Etats-Unis mais, déçu par l'approbation du Congrès de la guerre contre le Mexique, il finit par rentrer à Springfield. En 1858, il se présente contre Stephen Douglas pour un poste de Sénateur. Malgré sa défaite, l'éloquence avec laquelle il s'exprime lui permet d'être choisi comme représentant du parti républicain à l'élection de 1860. Il forme ainsi un parti républicain uni et formé pour arrêter le développement de l'esclavage notamment dans les Etats nouvellement acquis.




13e AMENDEMENT DE LA CONSTITUTION DES ÉTATS-UNIS (1865)

Il n´existera ni esclavage ni servitude involontaire

Le Sénat et la Chambre des représentants des États-Unis d'Amérique, réunis en Congrès, ont résolu, à la majorité des deux tiers de l'une et de l'autre Chambre, que l'article suivant sera proposé aux législatures des différents États comme amendement à la Constitution, et que ledit article, une fois adopté par les trois quarts desdites législatures, deviendra immédiatement partie intégrante de ladite Constitution, à savoir :

Art. ler - Il n'existera dans les États-Unis, et dans toute localité soumise à leur juridiction, ni esclavage ni servitude involontaire, si ce n'est à titre de peine d'un crime dont l'individu aurait été dûment déclaré coupable.

Art. 2 - Le Congrès est autorisé à faire exécuter cet article par voie législative. Or, attendu qu'il résulte de documents officiels déposés dans ce département, que l'amendement à la Constitution des États-Unis, proposé comme ci-dessus, a été ratifié par les législatures de l'Illinois, de Rhodes Island, du Michigan, du Maryland, de New York, de la Virginie occidentale, du Maine, du Kansas, du Massachusetts, de la Pennsylvanie, de la Virginie, de l'Ohio, du Missouri, du Nevada, de l'Indiana, de la Louisiane, du Minnesota, du Wisconsin, du Vermont, du Tennessee, de l'Arkansas, du Connecticut, du New Hampshire, de la Caroline du Sud, de l'Alabama, de la Caroline du Nord et de la Georgie, soit par vingt-sept États ; attendu que les États ci-dessus désignés, et dont les législatures ont ratifié l'amendement proposé, constituent les trois quarts du nombre total des États composant les États-Unis ; pour ces motifs, moi, William H. Seward, secrétaire d'État des États-Unis, je certifie par les présentes, en vertu de et conformément à la section II de l'acte du Congrès, approuvé le 20 avril 1818, ayant pour titre : « Acte ayant pour but de pourvoir à la promulgation des lois des États-Unis, etc. », que l´amendement ci-dessous mentionné est devenu valable en tous points et constitue une partie intégrante de la Constitution des États-Unis. En foi de quoi, j´y ai apposé ma signature, et fait apposer le sceau du département de l´État.

Fait à Washington, ce 18 décembre 1865, l´an XC de l´indépendance des États-Unis d´Amérique






LIENS:

- liste des présidents des états unis
- un autre site intéressant...
- les présidents américains dans la fiction...

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10 février 2009 2 10 /02 /février /2009 10:56
La vie de Daumier (Marseille 1808 - Valmondois 1879) est une vie sans histoires : pas de péripéties romanesques, pas de voyages lointains. Mais il est au cœur de son époque qu’il a auscultée tout au long de sa carrière à l’aide de son crayon à lithographie. Il a vécu sous six régimes différents : l’Empire, la Restauration, la Monarchie de Juillet, la Seconde République, le Second Empire et la Troisième République et connu trois épisodes révolutionnaires (les trois Glorieuses, les journées insurrectionnelles de 1848, la Commune de Paris).
Daumier est le fils d’un vitrier (à la fois encadreur, réparateur de tableaux, dessinateur) marseillais qui  part pour Paris en 1814 en vue d’embrasser une carrière littéraire qu’il abandonne en 1823. Honoré est d’abord commis puis il suit des cours de dessin auprès du peintre Alexandre Lenoir, travaille chez un lithographe et éditeur. En 1829, il collabore à La Silhouette, premier hebdomadaire satirique illustré en France, créé par Charles Philippon. Il publie ses premières caricatures de Louis-Philippe sous le nom de Rogelin. Gargantua, lithographie en noir et blanc est publiée dans la Caricature, n° 61, du 29 décembre 1831 et exposée dans la vitrine du journal, avant que la justice ne vienne saisir tous les exemplaires et briser la pierre lithographique. Gargantua lui vaudra une condamnation à six mois de prison et à une amende de 500 F "pour excitation à la haine et au mépris du gouvernement". En 1832, les bustes-charges figurant les principaux représentants de la droite sont exposés dans la vitrine du journal Le Charivari de Philippon.
Daumier fait paraître ses charges politiques, notamment le Ventre législatif et Rue Transnonain dans l’Association lithographique mensuelle, supplément à la Caricature qui disparaîtra en 1835, suite à la loi contre la liberté de la presse. Daumier va alors s’en prendre aux mœurs de son temps et réaliser notamment  la série des Cent et Un Robert Macaire.

 
En 1843, il publie quatre gravures dans l’édition Furne des œuvres de Balzac. Sa représentation du père Goriot sera reprise pour le frontispice de La Comédie humaine.
En 1845, il compose la série les Gens de justice.
Sa carrière de peintre commence en 1848 : sa toile La République nourrissant ses enfants et les instruisant est retenue parmi les vingt finalistes d’un concours de peinture. Des commandes officielles s’ensuivent, il participe au Salon avec Le Meunier, son fils et l’âne.
En 1851, il crée la statue de Ratapoil, personnage préfigurant le coup d’Etat de Louis-Napoléon. En 1853, Daumier se lie d’amitié avec les peintres de Barbizon, Camille Corot, Jean-François Millet et Théodore Rousseau.
En 1860, renvoyé du Charivari, il se consacre à la peinture et à la sculpture, mais n’arrive pas à en vivre. Il réintègre Le Charivari le 18 décembre 1963, s’installe à Valmondois en 1865, s’inspire de Don Quichotte dans ses tableaux, sa vue commence à baisser à partir de 1867. Il connaît des difficultés financières, Corot achète sa maison et la lui prête à vie.
En 1871, il publie des lithographies particulièrement sombres sur la guerre de 1870 et s’oppose à la proposition de Courbet d’abattre la colonne Vendôme. Il publie ses dernières lithographies dans Le Charivari en 1872. En avril 1878, une rétrospective de ses œuvres est organisée par la galerie Durand-Ruel et présidée par Victor Hugo. Elle connaît un succès critique mais pas public. Complètement aveugle, Daumier n’y assiste pas. Il meurt l’année suivante.
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