Avisse à la pôpulation!
Ha! elle est bonne la politique de la majorité:
Moi aussi je peux être généreux avec l'argent des autres.
On nous demande de faire ceinture mais les politiques eux vivent comme des princes en dilapidant les économies de la République! Économies qu'elle n'a plus depuis
longtemps, soit dit en passant. Et les princes ont été virés en 1789, mais ils sont revenus apparemment!
12000.00 € de cigares pour le secrétaire d'état... payé par le contribuable que je suis! Heureusement il y a des fuites... pour dénoncer ces agissement contraires à l'éthique!
Règlement de compte? Peut-âtre, mais les cigares ont bien été achetés avec l'argent de l'état, et pas avec celui du secrétaire d'état... Ok c'est une goutte d'eau, mais ça fait beaucoup de gouttes tout ces détournement!...
Et pourquoi faire tout un tabac pour ça? Parce Que c'est ce que j'appelle dilapider les caisses de l'état qui sont déjà bien vides...
En plus, il y quelques temps de cela, on nous a bassiné avec la pipe de Hulot, mais il faudrait peut être dire au secrétaire d'état que fumer nuit gravement à la santé, et que le détournement de bien public à titre personnel mène tout droit à la Santé.
Monsieur Christian Blanc fume, dans l'année, plus du salaire net d'un smicard avec l'argent du contribuable, alors chercher l'erreur lorsqu'on nous parle
d'économies budgétaires!
Qu'on se le dise!
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L'AFP me demande de retirer le texte (et la photo), ce que je fais, mais vous pouvez aller le lire sur la Tribune de Genève à l'adresse suivante:
http://www.tdg.ch/ministre-fait-rembourser-12000-euros-cigares-2010-06-16
En résumé de l'article, le secrétaire d'état se fait payer ses cigares par le contribuable, et les rembourse lorsque l'affaire apparaît dans les colonnes des journaux, mais il les rembourse en partie, le tiers environ, pour le reste on ne sait pas encore!
On nous a gonflé le mou avec la pipe de hulot, voilà qu'on recommence avec les cigares du pharaon...
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Cigares, permis de construire et hôtel de luxe
http://www.gala.fr/l_actu/on_ne_parle_que_de_ca/christian_blanc_alain_joyandet_et_rama_yade_leur_train_de_vie_va-t-il_trop_loin_204336
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http://www.lexpress.fr/actualite/politique/l-ex-chef-de-cabinet-de-christian-blanc-nie-tout_899894.html
Le secrétaire d'Etat au Développement de la Région capitale, mis en cause dans Le Canard Enchaîné, s'estime victime de Guillaume Jublot, son ancien chef de cabinet, qu'il a licencié en mai dernier. Dans un entretien exclusif à LEXPRESS.fr, celui-ci crie au complot.
Dans ses deux dernières livraisons, le Canard Enchaîné relate les ennuis fiscaux de Christian Blanc et de substantielles dépenses de cigares qu'il aurait commises aux frais de la République. Etes-vous à l'origine de ses fuites dans la presse?
Cela n'a jamais été dans mes intentions. Contrairement à ce que le ministre a soutenu ce mardi dans son communiqué, je n'ai jamais indiqué que j'allais transmettre des dossiers le concernant à qui que ce soit après mon départ du secrétariat d'Etat.
Le ministre a diligenté un audit détaillé des frais de représentation engagés par le ministère. Il s'inquiète de dépenses qu'il juge "disproportionnées" et émet le doute sur la légalité de vos actes de gestion.
Ces insinuations sont inadmissibles et ne servent qu'à détourner l'intérêt des médias sur ma personne alors que le ministre est dans une passe difficile. Les 12 000 euros de dépenses de cigares correspondent à la consommation réelle du ministre, qui est de 3 havanes par jour. Comme chef de cabinet, je signe toutes les commandes. Mais tout a été fait dans les règles. L'inventaire des stocks du ministère, validé par l'intendant, le montrera.
Pourquoi avez-vous été licencié?
Je l'ai été pour des motifs qui n'ont rien à voir à mon activité de chef de cabinet. Aucune démarche disciplinaire n'a été engagée contre moi. D'ailleurs, lorsque le directeur de cabinet du ministre, Marc Véron, a notifié mon licenciement le 25 mai dernier - c'est à dire avant le premier article du Canard Enchaîné -, il n'a parlé que de "perte de confiance" et "incompatibilité d'humeur". En fait, je m'estime victime d'un règlement de compte personnel d'ordre privé.
