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23 septembre 2010 4 23 /09 /septembre /2010 02:30


Fichier:Azadi1.jpg


Téhéran (en persan : تهران, TehrānPrononciation du titre dans sa version originale), prononcé tʰehˈɾɒn (API), est la capitale de l'Iran. Située au nord du pays, au pied des monts Alborz, la ville donne son nom à la province dont elle est également la capitale. Téhéran a vu sa population multipliée par quarante depuis qu'elle est devenue la capitale suite au changement de dynastie de 1786, soit 7 705 036 habitants en 2006, tandis que l'agglomération regroupe 13 500 000 habitants en 2008. La ville possède un métro (4 lignes en 2008) et un dense réseau autoroutier.

Cette croissance très importante de Téhéran est principalement due à l'amélioration des conditions de vie ainsi qu'à l'attraction exercée sur les habitants des provinces. Elle a connu une forte accélération à partir de 1974, suite à la forte hausse du prix du pétrole lors du premier choc pétrolier. Les banlieues de la ville ont alors cru très rapidement ; finalement la pression immobilière a eu raison de la politique de développement urbain fixée en 1969.

Téhéran accueille près de la moitié de l'activité industrielle du pays : industrie automobile, équipements électriques et électroniques, armement, textiles, sucre, ciment et produits chimiques. La ville et son bazar sont le pôle de commercialisation des tapis et meubles produits dans l'ensemble du pays.


Fichier:Panorama 1.jpgPanorama de la ville


Étymologie du nom de la ville  

L'origine du nom de Téhéran est encore discutée, et plusieurs interprétations sont disponibles. Une des étymologies populaires est que le nom de la ville viendrait de Tah + rān, qui signifie « celui qui chasse ou qui pousse (les gens) » ou « qui creuse » . Pour le Général Albert Houtum-Schindler, il s'agit d'une dérivation du terme Tir-ān, basé sur l'élément Tir. Cet élément a le sens de « plaine, plain désertique », qui est rapproché de Shemrān par Schindler  . L'historien et linguiste Ahmad Kasravi a la même idée et oppose Tahrān, « endroit chaud » à Shemrān, « endroit froid » . L'orientaliste Vladimir Minorsky propose de son côté une autre explication en se fondant sur la signification de tah qui signifie « fond, profondeur » dans des dialectes iraniens, qui serait associé au nom de la ville de Ray, ce qui voudrait dire que Téhéran signifie « qui est derrière Ray » . Xavier de Planhol, professeur émérite de géographie, souligne dans l'Encyclopædia Iranica que ces propositions semblent conjecturelles et qu'il est vain de chercher l'origine du nom de la ville. Même l'orthographe de son nom a changé, puisque avant le XXe siècle, Téhéran s'écrivait avec un alors qu'elle s'écrit maintenant avec , qui est censé mieux représenter la prononciation de ses habitants.

Carte de Téhéran en 1996.

Situation et site


Téhéran est située dans une plaine qui descend en pente vers le Sud au pied des monts Alborz. La ville a une altitude de 1 100 m au Sud et 1 200 m au centre à 1 700 au Nord. La ville et ses banlieues couvrent une superficie de 86 500 ha.

La fondation de la ville s'est initialement circonscrite à la limite de deux zones qui ont les caractéristiques des plaines : la zone haute est composée de graviers grossiers et perméables, et la zone basse est composée de dépôts alluviaux plus fins et plus imperméables. La zone où est construite Téhéran fait la transition entre le désert stérile (kavir) et la chaine montagneuse de l'Alborz.

La ville ne dispose pas de très importantes ressources en eau. Elle est située à égale distance de deux importants bassins hydrographiques qui collectent les eaux qui viennent des montagnes situées en amont. Ces deux bassins sont celui de Karaj à l'ouest et celui du Jājerud, à une trentaine de kilomètres à l'est, qui alimente Varamin et les villages environnants. Entre les zones urbaines de Karaj et Varamin, il n'y avait dans le passé qu'une seule ville importante, Ray, qui se trouvait à la jonction des routes entre les deux bassins.

Les quartiers Nord de la ville, situés en hauteur sur les contreforts de l'Elbourz, sont moins pollués et un peu plus frais en été. Ce sont les quartiers résidentiels de la population aisée de la capitale. La majorité des ambassades étrangères s'y trouvent ainsi que le palais et le parc de l'ex-Chah. Vers le Sud, en contrebas, et vers le désert, sont les quartiers plus populaires et industriels. C'est à l'extrême Sud de l'actuelle agglomération que se trouve le site de Ray (Rhagès). Ray a longtemps été la capitale régionale et est le lieu de naissance du calife abbasside Hârûn ar-Rachîd en 766.

La ville étant au pied des montagnes, une télécabine relie la sortie Nord de l'agglomération au mont Tochal à 3 966 m. Plus à l'Est et à 50 km du centre de Téhéran se trouve le mont Damâvand dont le cône garde quelques traces de neige jusqu'en juillet et culmine à 5 671 m.

 

Origines

Téhéran était jadis un village situé à sept ou huit kilomètres de la grande ville historique de Ray. C’était l'un des premiers villages du Nord de cette ville dont les habitants se réfugiaient à Shemiran, Qasran et dans les piémonts de l’Elbourz afin de fuir la chaleur du Sud désertique. Des traces de peuplement datant du néolithique et même de périodes antérieures ont été découvertes sur le site de Téhéran et à Ray (comme le site de Cheshm-e Ali, situé dans le centre de Ray).

L'histoire de Téhéran est mieux connue à partir du moment où son nom est mentionné des écrits historiques, comme ceux de Yāqut, qui mentionne la ville en 1220 . Les écrits de Zakariyā Mohammad Qazvini, datant de 1275, permettent de mieux connaître la ville à cette époque. Tous deux la décrivent comme étant une « ville commerciale » (qurā) voire une « ville commerciale importante » (qariyaton kabiraton), divisée en douze quartiers (mahaleh). Qazvini ajoute que chaque quartier est dirigé par un ancien . Selon lui, les anciens se faisaient la guerre et les habitants hésitaient à aller dans un autre quartier que le leur . À cette époque, la ville possède une physionomie particulière qui frappe ces deux auteurs. En effet, l'habitat troglodyte ou semi-troglodyte est courant dans Téhéran, offrant ainsi aux habitants un refuge contre l'insécurité régnant dans la ville. Ce type d'habitat se retrouve aussi dans le Nord de l'Iran afin de combattre les rigueurs de l'hiver .

L'économie de la ville à cette époque est basée sur le commerce de fruits et légumes qui poussent dans les jardins de la ville, alimentés par les cours d'eau en provenance de l'Alborz et des systèmes d'irrigation traditionnels (comme le qanat et le kariz).



Émergence des fonctions urbaines

Téhéran commence à prendre plus d'importance après la destruction de Rhagès (Ray) par les Mongols en 1228. Téhéran souffre aussi de l'invasion mongole, mais le déclin de Ray pousse ses habitants à venir s'installer à Téhéran qui offrait plus de commodités avec ses jardins et ses canaux d'irrigation. En 1340, Hamd-Allah Mostawfi décrit

Téhéran comme une « petite ville importante », mais pas aussi peuplée qu'auparavant . Au XIVe siècle, c'est Varamin qui est la ville la plus importante de la province mongole, composée de quatre départements, dont celui de Téhéran. Ray faisant à cette époque partie du district de Téhéran, et la prééminence de Téhéran sur Ray semble dater de cette époque.

Don Ruy Gonzáles de Clavijo, un ambassadeur castillan, est probablement le premier Européen à visiter Téhéran, s'y arrêtant en juillet 1404, lors d'un voyage vers Samarcande (aujourd'hui en Ouzbékistan et qui était alors la capitale mongole). Il décrit Téhéran comme une grande ville (gran ciudad), équipée d'une résidence royale (posada). Ray est décrite comme une ville abandonnée (agora deshabitada). La résidence royale est une résidence Timouride, et il apparaît que le palais a été construit au Nord de Téhéran . Le site exact de la ville Timouride peut être reconstitué d'après l'emplacement de certains Imamzadehs : la limite Sud de la ville était à cette époque à l'Imamzadeh Sayyed Esma'il (construit avant 1481 et actuellement le plus vieux monument de la ville, situé dans le quartier de Chaleh Meydān), et la limite Nord-Ouest était le palais Timouride, situé à l'emplacement actuel du Palais du Golestan.

À partir de la période Timouride, la ville de Téhéran se développe vers le Nord, à la recherche d'air et d'eau plus purs. Ce mouvement profond est depuis cette époque une constante du développement historique de Téhéran, tendance qui a façonné la géographie sociale de la ville. C'est également à partir de cette époque que Téhéran acquiert toutes les principales fonctions urbaines.



Pour en savoir plus!...





LIENS







http://en.tehran.ir/Portals/25/Skins/MT-en/MT-en-Header-87SP.jpg
http://en.tehran.ir/Portals/25/Skins/MT-en/MT-en-HeaderName-SacredDefenceWeek.jpg

site officiel de la ville de TEHRAN




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Le Musée national d'Iran




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http://images.allocine.fr/r_760_x/medias/nmedia/18/73/88/34/19311802.jpg
Voir la bande annonce

Synopsis : Ibrahim a quitté sa province et sa famille pour tenter sa chance à Téhéran. Mais dans cette jungle urbaine où tout se vend, tout s'achète, le rêve peut rapidement virer au cauchemar. Mêlé à un trafic de nouveaux-nés, Ibrahim plonge dans les bas-fonds de la ville, là où cohabitent prostituées, mendiants et mafieux en tout genre.




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La Revue de Téhéran
Mensuel iranien consacré à la culture et aux traditions iraniennes en langue française

Créé en octobre 2005, la Revue de Téhéran est à l’heure actuelle le seul magazine iranien en langue française. Il connaît aujourd’hui une large diffusion au sein de l’Iran et compte également de nombreux abonnés en France et dans plusieurs pays francophones. Sa direction est placée sous l’égide de la Fondation Ettelaat, qui, depuis sa création en 1934, n’a cessé d’éditer, outre son quotidien du même nom, de nombreuses publications scientifiques, culturelles, ou consacrées aux sciences humaines. Il s’adresse à la fois à un public français et iranien francophone, et vise à faire connaître et à approfondir certains aspects historiques, philosophiques, ou sociaux de la culture iranienne. Il traite également de la littérature et aborde certains grands débats sociopolitiques iraniens et français actuels. Le but de cette Revue est non seulement de faire connaître davantage les multiples richesses de l’Iran et de participer ainsi, même modestement, au “dialogue des civilisations”, mais également de contribuer à la promotion de la langue française en Iran et dans tous les pays distribuant notre magazine. Elle vise de plus à favoriser la recherche comparée sur des thèmes communs à ces deux cultures, et à ouvrir de nouveaux domaines d’études et de coopération entre l’Iran et la France. Nous opérons également une sélection attentive de nos contributeurs, universitaires spécialisés dans un domaine de recherche particulier et ayant en commun une parfaite maîtrise de la langue française.


La Revue de Téhéran, c'est ici

http://www.teheran.ir/local/cache-vignettes/L151xH448/601-3-1137c.jpgLoi de Hammurabi,
Découverte à Suse, Iran


Dans un prochain article nous parlerons de l'histoire de Mésopotamie et du reste...





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16 septembre 2010 4 16 /09 /septembre /2010 02:49


Dans ce nouvel article nous inaugurons les villes US qui ont un nom Français, et qui plus est, ont un nom de ville qui existe en France: St Louis, Strasbourg, Bayonne, Belfort (US: Belford), St Raphael (San Rafael USA)... Bref un aperçu de la différence qui se cache derrière le même patronyme.

En route pour le voyage... On commence par ....


In this new article we inaugurate the US cities which have a French name, and besides, have a city name which exists in France: St Louis, Strasbourg, Bayonne, Belfort (US: Belford), St Raphael (San Rafael USA).... To sea a the difference which hides behind the same patronymic.

Good travel... We begin by....

 

Bayonne, New Jersey, USA 







http://www.bayonnenj.org/gallery/albums/Main/robins.jpg








Bayonne est une ville américaine située dans le comté de Hudson, État du New Jersey. Lors du recensement de 2000, la ville était peuplée de 61 842 habitants. Superficie totale : 29,1 km² (11,2 mi²). Densité: 1 839 7 hab/km² (4 768,2 hab/mi²).

La ville tiendrait son nom de la ville basque de Bayonne, Baiona en euskara. La légende dit que des huguenots français se seraient installés ici avant la fondation de la Nouvelle-Amsterdam. Cependant, aucune source historique ne permet de confirmer ces suppositions. Une origine plus probable du nom tient au fait que le terrain qui a servi à construire la ville est situé sur la rive de deux baies, celle de New York et celle de Newark. Le nom anglais pour baie étant bay, le nom de la ville proviendrait de on the bay (sur la baie) d'où Bay-on. A noter qu'il y eut d'abord un hôtel de la ville nommé "Bayonne hotel", hôtel qui donna ensuite le nom à la rue, "Bayonne street". Bayonne est une ville très diversifiée, avec de nombreuses communautés italiennes, irlandaises et polonaises.

Bayonne est en outre reliée à Staten Island via le Bayonne Bridge, qui est le quatrième plus grand pont arqué en acier au monde.

  …lire la source  

 

Fichier:Bayonne Bridge Collins Pk jeh.JPG





http://www.bayonnenj.org/gallery/albums/Main/40street.jpg





 

http://www.bayonnenj.org/title-bar4_01.gif Official site of Bayonne, NJ



 

Bayonne is a city in Hudson County, New Jersey, United States, south of Jersey City. As of the United States 2000 Census, the city had a total population of 61,842. Bayonne is also 9 miles (14 km) east of Newark, which is part of Newark Bay.

According to tradition, the city derives its name from the city of Bayonne in France. It is said that French Huguenots settled there some time before New Amsterdam was founded. French-speaking Walloons were a large percentage of the population of New Netherland during the mid-seventeenth century and may have given the name. However, there are no historical records to prove this, and it has been alternatively suggested[citation needed] that, when the land was purchased for real estate speculation, it was named Bayonne because it is on the shores of two bays, Newark and New York, hence Bay-on, or "on the Bays." Bayonne is a diverse city, with large communities of Italian, Irish and Polish Americans .

Bayonne was originally formed as a township on April 1, 1861, from portions of Bergen Township. Bayonne was reincorporated as a city by an Act of the New Jersey Legislature on March 10, 1869, replacing Bayonne Township, subject to the results of a referendum held nine days later.

Bayonne is connected to Staten Island, New York by the Bayonne Bridge. The Bayonne Bridge is lit in patriotic colors (red, white & blue) in the evenings, as a 9/11 memorial initiated by a then 8-year-old girl in the summer of 2002, Veronica Marie Granite, with the assistance of then-Municipal Councilmember-at-Large Maria Karczewski.


…lire la source... Read more here  


http://www.bayonnenj.org/gallery/albums/Main/fitz_park.jpg

 




http://www.bayonnenj.org/gallery/albums/Main/suburbia.jpg





http://media.nj.com/jersey-journal/photo/-42f9125198782949_large.jpg
A Bayonne New Jersey, les gosses ne jouent pas au rugby, mais au football américain






Voir la carte du New Jersey

 

 

 

 

 

Bayonne, Pays Basque, France

 

 

 

 

http://www.bayonne.fr/fileadmin/templates/images/bandeauaccueil.png
Site officiel de Bayonne, France



Au moyen age, Bayonne, était la capitale des vicomtes de Labourd. A la fin du VIIe siècle et au début du XIIe les rois d’Angleterre - ducs d’Aquitaine lui donnent  une certaine autonomie et une charte de commune. Bayonne, ville marchande, aura une activité maritime intense et sera le principal soutien naval des rois d’Angleterre dans le Golf de Gascogne. En 1451, Bayonne, conquise par les Français, devient la principale forteresse sur la frontière franco-espagnole, cependant que, l’embouchure de l’Adour s’étant déplacée de Capbreton à Port d’Albret à la fin du XIVeme siècle, son rôle portuaire diminue jusqu’au 18 octobre 1578, où est ouvert le Boucau actuel. Bayonne reprendra peu à peu son rôle de port de transit vers la Navarre et y ajoutera les relations avec le Canada (morue ) et les Antilles. En 1726 sera fondée la Chambre de Commerce et en 1784 Bayonne est port franc.

Sous la monarchie française, elle perd une grande part de son autorité municipale ; les Gramont en sont maires à titre héréditaire. Louis XI fait construire le Château Neuf dont les défenses sont tournées vers la ville. Après 1523, les faubourgs sont rasés, des bastions construits à la base des fortifications romaines et médiévales, l’enceinte sera complétée par Vauban qui construira la Citadelle ; Bayonne résistera en 1814 au blocus de Wellington ; les travaux de fortification se prolongeront jusqu’au milieu du XIXe siècle. Au XVIIe et XVIIe siècles seront tracées les Allées Boufflers, les Allées Marines et les Allées Paulmy, ainsi que le Port du Verger (actuellement Rue Thiers).

La première moitié du XIXe siècle est une époque de décadence ; la barre nuit au développement du port, autant que la suprématie anglaise ; la loi espagnole de 1814 abrogeant les fueros, l’établissement de douanes et de tarifs protectionnistes mettent fin aux relations entre Bayonne avec la Navarre.

Sous le Second Empire, le chemin de fer en 1855, prolongé jusqu’à Irun en 1864, la colonisation des Landes, l’annexion de Saint Esprit en 1857 et l’urbanisation de la zone comprise entre le pont Saint-Esprit et celui du chemin de fer marquent une reprise économique qui s’affirme avec la fondation des Forges de l’Adour.

Par la géographie, au moins jusqu’à l’Adour, Bayonne est Basque ; elle a été peuplée en majorité de Gascons, mais la minorité Basque y fut nombreuse et influente. Bayonne est ainsi le centre économique et culturel du Pays Basque. Ses monuments l’y prédisposent. Outre les remparts, ses maisons, sa cathédrale, dont l’évêque régissait la majeure partie du Pays Basque avant 1789 et régit actuellement le département. Les musées et la bibliothèque de Bayonne constituent un patrimoine culturel très supérieur à celui des villes plus importantes.


… lire la source



La ville de Bayonne est jumelée avec celle de
Daytona Beach, USA

Située aux Etats-Unis, sur la côte atlantique de la Floride, Daytona Beach est une station balnéaire renommée pour ses magnifiques plages de sable.

Les plages de Daytona Beach attirent de nombreux touristes comme les étudiants qui viennent pour leur traditionnel break de printemps (« Spring break ») ou la grande rencontre des bikers (« Bike Week »).

Visitez le site de Daytona Beach


http://blogs.bl0rg.net/finis_africae/wp-content/uploads/2009/03/bayonne.jpg




http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/7/73/Bayonne_-_Houses_view.jpg



 

Bayonne, Fr., and the Nive River with the Cathedral de Sainte-Marie

 

The cathedral in Bayonne in the pays basque, south west France

The Cathedral Sainte-Marie constructed during the 13th to 15th centuries

The cathedral cloisters in Bayonne in the French Basque country

The XIV century cloisters adjacent to the Cathedral.


Medieval Fortifications in Bayonne

Bayonne Fortifications & Ramparts are there to enjoy, there are a series of peaceful squares parks and play areas for children, including basket ball courts and small football pitches, or just to walk around and relax. The Jazz Festival, Bayonne Expo & some basque festivals are held in the moat and on the ramparts.
















Là, ça joue au rugby




 



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17 mai 2010 1 17 /05 /mai /2010 02:30








Fichier:NYC Montage 8.jpg

Sceau de New Yorksceau de New York
Drapeau de New YorkDrapeau de New York
Surnom : « Big Apple » (La grosse pomme)
« The city that never sleeps »
(la ville qui ne dort jamais)
Gotham






New York regroupe aujourd'hui l'ensemble des critères caractéristiques d'une ville mondiale, et est même considérée parfois comme « la capitale du monde ».  Si elle n'est plus la capitale fédérale des États-Unis depuis plus de deux siècles , New York n'en est pas moins la ville la plus peuplée du pays avec 8 214 426 habitants  et un centre décisionnel, économique et culturel majeur.

Au cœur de la mégalopole du BosWash et d'une agglomération de 18 818 536 habitants   qui s'étend sur trois États (l'État de New York, le New Jersey et le Connecticut), son aire urbaine compte en 2009, 25 933 312   habitants. New York accueille des institutions d'importance mondiale. On peut notamment citer le siège de l'ONU, le New York Stock Exchange, mais aussi de nombreux sièges de multinationales et des centres culturels et universitaires tels que le Metropolitan Museum, le MoMA, le Lincoln Center ou l'Université Columbia et l'Université de New York.



L’ère pré-coloniale (jusqu'à 1524)  

L'histoire précolombienne des États-Unis est une période encore mal connue. Si les fouilles archéologiques donnent de précieux renseignements aux chercheurs, l'absence presque totale de sources écrites complexifie grandement leur travail. À ce jour, les historiens ne sont pas en mesure de dater avec précision l'arrivée des premiers hommes dans le nord-est des États-Unis, et, a fortiori, sur le territoire de l'actuelle New York[10]. Les scientifiques estiment que ce premier peuplement pourrait remonter à environ 10 500 avant Jésus Christ[.

Avant l'arrivée des Européens, le territoire de l'actuelle New York était peuplé par des Amérindiens Lenapes qui appartenaient au groupe linguistique des Algonquins  . Différents sous-groupes occupaient cet espace. Les Manates vivaient sur l'île de Manhattan, les Canarsies, à l'est de Brooklyn, les Matinecocks et les Rockaways, dans le Queens. Cette ancienne présence amérindienne se manifeste encore aujourd'hui dans la toponymie de New York. Par exemple, le nom "Manate" se retrouve aujourd'hui dans "Manhattan", Canarsie est un quartier de Brooklyn, proche de l'aéroport international John Fitzgerald Kennedy. On retrouve également des références à ces peuples dans des noms d'entreprises, comme l'Hôtel Algonquins, situé dans le centre de Manhattan.



La Nouvelle-Angoulême (1524-1609) 
Giovanni da Verrazano.

En 1524, le navigateur italien Giovanni da Verrazano, missionné par le roi de France François Ier, fut le premier Européen de la Renaissance à explorer le territoire de l'actuelle New York , qu'il baptisa Nouvelle-Angoulême, en l'honneur de son mécène.

Voici comment il rendit compte de sa découverte au souverain français :

« Nous trouvâmes un site très agréable situé entre deux petites collines qui le dominaient. Au milieu, une très grande rivière courait jusqu'à la mer. Son embouchure était profonde; à marée montante, nous y avons trouvé huit pieds, et n'importe quel navire à pleine charge remonterait jusqu'au fond de l'estuaire. Ayant mouillé près de la côte en lieu bien abrité, nous ne voulions pas nous aventurer dans cette embouchure sans l'avoir reconnue. Remontant la rivière avec le petit bateau, nous pénétrâmes dans le pays que nous trouvâmes fort peuplé. Les gens sont presque semblables aux autres, vêtus de plumes d'oiseaux de couleurs variées. Ils venaient à nous gaiement, en poussant de grands cris d'admiration et en nous montrant l'endroit le plus sûr pour aborder. Nous remontâmes cette rivière jusqu'à une demi-lieue à l'intérieur des terres, endroit où nous vîmes qu'elle formait un très beau lac d'environ trois lieues de tour. Sur le lac allaient et venaient sans cesse de tous côtés environ XXX petites barques montées par une foule de gens, passant des deux rives pour nous voir. Tout à coup, comme il est fréquent dans les navigations, un coup de vent contraire se leva de la mer et nous contraignit à regagner le bord. Nous quittions cette terre à regret, en raison de ses avantages et de sa beauté, songeant qu'elle n'était pas dépourvue de ressources appréciables, car toutes les hauteurs semblaient pourvues de minéraux. Cette terre fut appelée Angoulême, à cause de l'apanage que Votre Majesté reçut lorsqu'elle était en moindre fortune, et le golfe formé par cette terre, Sainte Marguerite, du nom de votre sœur, qui l'emporte sur les autres dames par sa discrétion et son esprit. »

— Extrait du Manuscrit Cèllere conservé à la bibliothèque John Pierpont Morgan de New York

 

 




Fichier:Aster newyorkcity lrg.jpg

New York depuis l'espace.






Découpage territorial 

Fichier:5 Boroughs Labels New York City Map Julius Schorzman.png 
Les 5 boroughs de New York City :  (1) Manhattan,  (2) Brooklyn,  (3) Queens,  (4) The Bronx,  (5) Staten Island

La ville de New York est constituée de cinq districts (en anglais boroughs), qui coïncident chacun avec un comté de l'État de New York (county), mais ces derniers ne fonctionnent pas comme les autres comtés de l'État. En effet, ils ont des pouvoirs très limités et sont en lieu et place des comtés, soumis directement à l'autorité municipale.

  • Manhattan (ou Comté de New York), 1 546 856 habitants. L'île de Manhattan correspond au quartier le plus riche de la ville de New York, et le plus densément peuplé, tout en étant le plus célèbre, puisque la plupart des buildings les plus célèbres du monde se trouvent à Manhattan. Manhattan se présente également comme une place financière d'importance mondiale, avec l'indice Dow Jones (NYSE) et le Nasdaq. Mais Manhattan est aussi un centre décisionnel majeur : siège de l'ONU, nombreux sièges d'entreprises, ce qui en fait l'un des lieux les plus puissants de la planète. Au niveau universitaire, Manhattan abrite l'Université de New York, la prestigieuse université de Columbia (appartenant à l'Ivy League) ou encore celle de Fordham.
  • The Bronx (ou Comté de Bronx), 1 354 068 habitants. Le Bronx a longtemps été considéré comme le quartier pauvre de la ville de New York, mais depuis quelques années, la politique de la ville a permis de rendre le Bronx beaucoup plus attrayant. Ce quartier est également considéré comme le berceau de la culture hip-hop, qui s'est à présent répandue largement dans le monde, et comme un quartier qui accueille des minorités hispaniques et noires, contribuant à l'image de melting pot de la ville. Le Bronx abrite en outre le nouveau Fulton Fish Market, qui est l'un des principaux marchés aux produits maritimes de la côte est. L'équipe des New York Yankees joue ses matches dans le Yankee Stadium, situé à la frontière entre Manhattan et le Bronx.
  • Brooklyn (ou Comté de Kings), 2 488 194 habitants. Brooklyn est un quartier à tendance résidentielle, ce qui explique qu'il est le borough le plus peuplé de la ville. Brooklyn a longtemps été une ville indépendante, avant de se rattacher à New York City en 1898. Brooklyn présente en outre l'une des rares plages de la ville.
  • Queens (ou Comté de Queens), 2 237 815 habitants. Le Queens est à la fois un quartier résidentiel et industriel ; il est en outre le plus vaste de la ville de New York. Le Queens est très ouvert sur l'extérieur, grâce à sa proximité avec les deux principaux aéroports de la ville, JFK, et LaGuardia Airport. Le Queens abrite également l'un des tournois de tennis majeurs de la saison, l'US Open. L'Unisphere (sphère en acier représentant la terre), située à Flushing Meadows, est d'ailleurs considérée comme le symbole du Queens, avec une idée d'ouverture sur le monde et d'universalité. L'équipe des New York Mets joue ses matches dans le Shea Stadium, situé dans le quartier de Flushing.
  • Staten Island (ou Comté de Richmond), 457 383 habitants, est le borough le moins intégré à la ville de New York, ne serait-ce que par son éloignement géographique. Staten Island est relié à Brooklyn par le Verrazano Narrows Bridge, l'un des ponts suspendus les plus longs du monde.





 

Fichier:Staten-Island-Ferry.jpg
Staten Island Ferry





http://fr.wikipedia.org/wiki/New_York

 

 

 

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Located on a large natural harbor on the Atlantic coast of the Northeastern United States, the city consists of five boroughs: The Bronx, Brooklyn, Manhattan, Queens, and Staten Island. The city's 2008 estimated population exceeds 8.3 million, and with a land area of 305 square miles (790 km2),

New York City is the most densely populated major city in the United States.[5] The New York metropolitan area's population is also the nation's largest, estimated at 19.1 million people over 6,720 square miles (17,400 km2). Furthermore, the Combined Statistical Areagreater New York metropolitan area contained 22.2 million people as of 2009 Census estimates, also the largest in the United States.

New York was founded as a commercial trading post by the Dutch in 1624. The settlement was called New AmsterdamEnglish control.

New York served as the capital of the United States from 1785 until 1790. It has been the country's largest city since 1790.

As many as 800 languages are spoken in New York City, making it the most linguistically diverse city in the world.

 



Read more here

http://en.wikipedia.org/wiki/New_York_City






 

LIENS

 

http://www.routard.com/IMG/logo_fond/logo.png

New York ne vous laissera pas indifférent. Elle étonne par son gigantisme et elle envoûte par sa diversité.
Trop petite pour être un pays et trop grande pour être une simple cité. New York, c’est une mégalopole où tout se crée, où tout semble possible. Les grands mouvements, les modes, les innovations naissent et s’épanouissent ici. C’est une ville où tout va très vite, où tout est tellement démesuré que ça en devient parfois violent.

http://www.routard.com/guide/code_dest/new_york.htm


 








 

La France aux Etats-Unis

Consulat général de France à New York


http://www.consulfrance-newyork.org/









Le site officiel de la ville de New York


http://www.nyc.gov/portal/images/headers/nycgov/banner_bnx_botanical.jpg

http://www.nyc.gov/portal/site/nycgov/?front_door=true




http://www.france-amerique.com/images/shared/france-amerique-logo.pnghttp://www.france-amerique.com/


































































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13 septembre 2009 7 13 /09 /septembre /2009 02:30



Fichier:ChicagoThomasPainewikiMontage.jpg




Chicago est la troisième plus grande ville des États-Unis, située dans l'État de l'Illinois, elle est le chef-lieu du comté de Cook. C'est la plus grande ville de la région du Middle West. Elle se trouve sur la rive sud-ouest du lac Michigan, un des Grands Lacs de l'Amérique du Nord. La rivière Chicago traverse la ville. Fondée en 1770, Chicago est devenue ville officielle en 1837.

La ville de Chicago proprement dite compte aujourd'hui 2 853 114 habitants et les limites de la ville s'étendent sur 606 km2. Ses habitants s'appellent les Chicagoans. L'agglomération de Chicago est la troisième des États-Unis avec une population de 8 711 000 habitants s'étendant sur 5 498 km2. L'aire urbaine de Chicago-Naperville-Joliet communément appelée « Chicagoland » compte 9 785 747 habitants et s'étend sur 28 163 km2, ce qui en fait la quatrième aire urbaine de l'Amérique du Nord après Mexico, New York et Los Angeles.

Chicago est le deuxième centre industriel des États-Unis ; elle appartient à la « Ceinture des industries » (Manufacturing Belt), mais la ville est aussi l'une des plus importantes places financières du monde ; c'est ici, par exemple, que sont fixés les prix du blé et du soja aux États-Unis.

Grâce à sa situation exceptionnelle, la ville constitue un centre de communication majeur de voies terrestres mais aussi par son aéroport international. Elle a acquis une grande renommée culturelle grâce à son architecture de gratte-ciel et attire des millions de visiteurs chaque année. En effet, la Sears Tower a été le plus haut gratte-ciel au monde si l'on inclut son antenne. Cet immeuble a été le plus haut du monde de 1974 à 1998. Chicago possèdera bientôt le plus haut gratte-ciel du continent américain avec la Chicago Spire, actuellement en construction, elle devrait culminer à 610 mètres de haut en 2010. La ville compte de nombreux établissements d'enseignement supérieur, des musées, des théâtres et un orchestre symphonique réputé. C'est enfin la ville d'adoption du 44e et premier président des États-Unis d'ascendance noire, Barack Obama.



Histoire

L'histoire de Chicago est relativement courte mais riche en événements : la ville est officiellement fondée en 1833 et les tensions sociales ou ethniques ont marqué l'essor de la ville. Chicago tient une place importante dans l'histoire industrielle et culturelle des États-Unis.


Avant Chicago


Avant l'arrivée des premiers Européens, la région de Chicago était occupée par les Amérindiens Potawatomis, qui prirent la place des Miamis et des Sauk et Fox vers le milieu du XVIIIe siècle. Le nom de la ville proviendrait du mot miami-illinois « sikaakwa », déformé par les Français en « Checagou » ou « Checaguar », qui signifie « oignon sauvage », « marécage » ou encore « mouffette », ce qui en dit long sur l'odeur pestilentielle qui y régnait autrefois. C'est le coureur des bois Louis Jolliet et le père jésuite Jacques Marquette qui, en 1673, revenant d'une expédition sur le Mississippi, parvinrent à l'emplacement actuel de Chicago. Le site de Chicago fit d'abord partie du Pays des Illinois, dans la Louisiane française. Puis les Britanniques s'emparèrent de la région au terme de la guerre de Sept Ans, en 1763. Cet ancien point de passage et de liaison des Amérindiens, des explorateurs et des missionnaires, entre le Canada et le bassin du Mississippi, devint un poste permanent de traite des fourrures.

Le premier établissement permanent fut fondé par Jean Baptiste Pointe du Sable à la fin du XVIIIe siècle. Ce métis, originaire de la colonie française de Saint-Domingue, épousa une Amérindienne. et s'installa à l'emplacement actuel de Chicago où il établit un comptoir commercial.

Durant la guerre d'Indépendance (1775-1783), le colonel George Rogers Clark s'empara de la totalité du Pays des Illinois au nom de la Virginie et le transforma en « comté d'Illinois » afin d'exercer un gouvernement théorique sur la région. En 1795, par le traité de Greenville et sous la contrainte du colonel Anthony Wayne, les Amérindiens durent céder les terres situées à proximité de l'estuaire de la rivière Chicago. En 1803, l'achat des immenses territoires de la Louisiane française par les États-Unis renforça l'importance stratégique du lieu. La même année, le capitaine John Whistler arriva sur le site et érigea le Fort Dearborn en 1808[4]. Entre temps, la région de Chicago fut intégrée au Territoire du Nord-Ouest (1787-1809), puis au Territoire de l'Illinois (1809-1818), avant de faire partie de l'État de l'Illinois (1818-aujourd'hui).


Une « ville-champignon » (1833-1871)
Le 12 août 1833, la ville de Chicago se constitua avec une charte[N 1]. Elle reçut une charte par l'État de l'Illinois le 4 mars 1837 pour se constituer en municipalité dirigée par un maire et six subdivisions appelés « wards ». Pourtant, les contraintes naturelles du site posèrent rapidement des problèmes d'aménagement. Chicago souffrait d'un environnement marécageux qui rendait très difficile l'installation de routes et d'égouts. Les autorités engagèrent des travaux importants afin de surélever les infrastructures et d'implanter un réseau d'évacuation des eaux usées dans les années 1850. Elles décidèrent de détourner la rivière pour préserver l'eau potable du lac, en creusant un canal (Chicago Sanitary and Ship Canal) qui s'ouvrait sur le Mississippi.

Chicago est une « ville-champignon» qui grandit grâce à l'afflux d'immigrés. Dès le milieu du XIXe siècle, la présence des immigrés provoqua l'essor des Know-Nothing, un mouvement nativiste. Son candidat, Levi Boone, soutenu par la Chicago Tribune, fut élu maire. Il mena une politique discriminatoire et prohibitionniste qui fut particulièrement préjudiciable aux immigrés allemands et qui provoqua, le 21 avril 1855, une émeute opposant WASP et immigrés catholiques, la Lager Beer Riot.

Chicago devint un carrefour de communication avec le premier chemin de fer (Galena & Chicago Union Railroad) qui arriva en 1836. En 1860, onze lignes ferroviaires avaient Chicago pour terminus et vingt autres y faisaient un arrêt. Débutant sur la rivière Chicago et aboutissant sur la rivière Illinois, le Canal Illinois et Michigan fut ouvert en 1848 et permit aux bateaux circulant sur les Grands Lacs de rejoindre le Mississippi en passant par Chicago. En 1854, Chicago était le plus grand marché de céréales du pays. La fondation de la Chicago Board of Trade en 1848 s'inscrivait dans ce développement économique considérable. Au XIXe siècle, Chicago fut le plus grand marché mondial du bois, qui était transformé dans les nombreuses scieries et dans les industries du meuble.

En 1847, Cyrus Hall McCormick, l'inventeur de la moissonneuse, installa la production de machinerie agricole à Chicago. Les premières usines sidérurgiques ouvrirent en 1858. C'est en 1865 que furent inaugurés les Union Stock Yards, les abattoirs de la ville où des méthodes modernes furent rapidement appliquées par les compagnies Armour et Swift.


Source Wikipedia




Fichier:Chicago-fire2.jpeg
Chicago après l'incendie de 1871











http://www.canadainternational.gc.ca/images/template/lffl.png

Gouvernement du Canada

chicago.gc.ca

 

 

 

 



http://www.consulfrance-chicago.org/IMG/siteon0.gif
Consulat Général de France












http://a69.g.akamai.net/n/69/10688/v1/img5.allocine.fr/acmedia/rsz/434/x/x/x/medias/nmedia/00/02/56/67/affiche.jpg













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6 août 2009 4 06 /08 /août /2009 02:30


The City of La Crosse Wisconsin
The City of La Crosse Wisconsin
The City of La Crosse Wisconsin

    La Crosse est une ville des États-Unis, siège du comté de La Crosse dans le Wisconsin. La ville est bâtie le long du Mississippi et est connue pour son université et pour être le centre commercial de la région.


Localisation de La Crosse dans l'État.



History

Origine du nom de la ville

    La Crosse a été reconnue comme ville en 1856, mais son histoire remonte à plus loin. Les premiers Européens à voir le site de La Crosse étaient les commerçants de fourrure français qui ont voyagé sur la Rivière du Mississippi à la fin du 17ème siècle. Mais il n'est fait aucun rapport écrit, cependant, sur une quelconque visite du site avant 1805, quand le lieutenant Zebulon Pike monte une expédition sur la Rivière du Mississippi pour les Etats-Unis. Pike a enregistré le nom de l'emplacement comme "Prairie La Crosse". Le nom lui vint quand il vit les Indiens d'Amérique jouer à un jeu avec des bâtons qui ressemblaient à la crosse d'un évêque ou "La Crosse" en français.


    La Crosse was incorporated as a city in 1856, but its history dates further. The first Europeans to see the site of La Crosse were French fur traders who traveled the Mississippi River in the late 17th century. There is no written record, however, of any visit to the site until 1805, when Lt. Zebulon Pike mounted an expedition up the Mississippi River for the United States. Pike recorded the location's name as "Prairie La Crosse". The name originated when he saw the Native Americans playing a game with sticks that resembled a bishop's crozier or la crosse in French.





    La population de La Crosse était de 51 818 habitants lors du recensement de 2000, soit la 12e plus grande ville de l'État du Wisconsin (8e si on ne compte pas les banlieues de grandes villes comme Milwaukee ou Chicago). Avec les villes avoisinantes, La Crosse compte 96 592 habitants. Ville natale de Joseph Losey.


     La Crosse est jumelée avec la ville française d'Epinal.










TWIN City: EPINAL (France) Flag of France








LA CROSSE - (Wisconsin) U.S.A


 


Site web : cliquer pour aller voir le site officiel de La Crosse.

 


    Située dans le Middle-West américain sur le Mississipi à environ 400 kilomètres au nord-ouest de Chicago et à 7 000 kilomètres d’Épinal, la Ville de LA CROSSE est jumelée avec nous depuis 1986.

Créée en 1842 Nathan MYRICK, commerçant en fourrures qui installait un comptoir dans cette région appelée " Prairie La Crosse " où un siècle plus tôt des trappeurs français avaient fraternisé avec les tribus indiennes WINNEBAGO en pratiquant en commun un jeu avec un bâton en forme de crosse, la Ville se développa à une vitesse fulgurante sous l’impulsion de la grande vague d’immigration submergeant les Etats-Unis. Des pionniers d’origine germanique et scandinave s’installent dans la région par milliers. Actuellement elle compte plus de 50 000 habitants et ces origines diverses se retrouvent à travers les célébrations de fêtes traditionnelles telles qu’ " Oktoberfest " (fête de la bière) par exemple.


    Bien qu’étant une ville " jeune ", La Crosse est cependant riche sur le plan " Enseignement " et " Culture ". Elle compte en effet de nombreux établissements (école primaire – collèges et lycées) ainsi que deux universités :

- l’Université du WISCONSIN avec plus de 9 000 étudiants
- le Viterbo Collège (université privée) avec plus de 1 000 étudiants
- Enfin le " Western Wisconsin Technical Institute " offre à ses étudiants un enseignement technique supérieur de qualité.


    Dans le domaine culturel, la musique occupe une place prépondérante dans la vie de la cité ; chaque école possède en plus de sa fanfare, son propre orchestre symphonique et sa chorale.

Né par la volonté des édiles du moment soucieux de rapprocher des populations ayant des intérêts communs sur le plan professionnel et économique (les sociétés TRANE et ALLIED SIGNAL existent à La Crosse et à Épinal et sa périphérie), ce jumelage franco-américain permet de nombreux échanges au niveau des étudiants (accueil dans les familles, stages en entreprises). La distance géographique séparant les deux villes limite les rencontres notamment au niveau des associations.

     Au printemps 2005, Monsieur Mark JOHNSRUD a été élu Maire de la Ville.

 

    Un groupe de 27 collégiens et lycéens accompagnés de 2 adultes a participé aux échanges linguistiques du 28 juin au 18 juillet 2008.


    Des projets de rencontres musicales et cyclistes devraient voir le jour en 2009.


    Une délégation spinalienne se rendra dans la cité américaine au moment de la traditionnelle "Oktober Fest"

 

 




Pour ceux qui veulent faire le voyage à La Crosse:



LA METEO

Conditions actuelles

La Crosse, WI Dégagé



Afficher tous les hôtels La Crosse Afficher toutes les chambres d'hôtes La Crosse






C'est sur qu'avec 42% de descendants Allemands, les traditions germaniques durent...

et surtout la fête de la bière!









Ben, y a aussi les Irlandais... faut pas les oublier! Ils sont 14% de descendants































Panoramio logo










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4 août 2009 2 04 /08 /août /2009 02:30


Ce billet est pour les cavaliers...et les autres aussi...
This note is for the riders ... and the others also...

Walsall [wɔːl.sɔːl] est une ville britannique, située dans le comté des Midlands de l'Ouest. Elle est le chef-lieu du district métropolitain de Walsall.




Pourquoi parle-je de Walsall?

Why I speak about Walsall?

Pour deux raisons!
For two reasons
!

File:Walsall in 2007.jpg
A view over Walsall

La première c'est que j'habite près de Mulhouse qui est jumelée avec Walsall
The first one it is because I live near
Mulhouse which is coupled with Walsall



La seconde c'est que je suis sellier de formation, et que Walsall est la capitale de la sellerie anglaise
The second it is because I am a saddler, and because Walsall is the capital of the English saddlery















Vieille ville
Old city
of Mulhouse



Histoire

Le nom Walsall semble provenir des mots "Walh halh", qui signifie "vallée des Celtes". Walsall est d'abord appelé «Walesho» dans un document daté de l'année 1002, mais qui n'est pas référencé dans le Domesday Book.


Durant la première partie du 13ème siècle, Walsall était une petite ville de marché,  marché hebdomadaire qui fut créé en 1220 et qui se tenait le mardi. La fonction de "maire de Walsall" fut créé  au 14 è siècle.


Walsall est connu comme "la ville d'une centaine de métiers". Cette appellation est un clin d'œil au fait que tout près, la ville de Birmingham est connue comme "la ville d'un millier de métiers".


La révolution industrielle a changé le visage de Walsall : d'un village de 2000 personnes au 16è siècle, c'est devenu une ville de plus de 86 000 habitants en 2 siècles environ.


En 1821, l'Eglise St. Matthews fut démoli à l'exception de la tour, et remplacée ,pour un coût de £ 20.000, par un projet de l'architecte Francis Godwin.

 

 


St. Matthew's Church 1
St. Matthew's Church



En 1824, la "Walsall Corporation"  bénéficia d'un Acte du Parlement pour améliorer la ville en fournissant l'éclairage et une usine à gaz. L'usine à gaz fut construite en 1826 pour un coût de £ 4,000. En 1825, la "Walsall Corporation" construisit onze hospices pour  femmes démunies. Les Hospices  sont connus sous le nom "d'Hospices de Molesley".


Walsall subi une modernisation dans les années 1970 avec un nouveau centre-ville en cours de construction au détriment de la ville médiévale.


En 1974, Walsall a été transféré du comté de Staffordshire pour former le comté métropolitain de l'Ouest Midlands. Walsall subit actuellement une nouvelle ère de construction urbaine brutale avec beaucoup de friches remplacées par de mauvaises constructions modernes, appartements et  bureaux .

 

 

Saddles
Street sculpture. Saddles.
les selles sont également dans les rues de la ville...

 

Économie

Walsall a eu de nombreuses industries, de l'extraction du charbon à la métallurgie. À la fin du 19e siècle, les mines de charbon s'épuisent et Walsall devient internationalement célèbre pour le commerce du cuir. Walsall crée les sac à main de la Reine et des produits en cuir Walsall ont été trouvés jusqu'en l'Italie.

Walsall est la ville traditionnelle de l'industrie de fabrication de selle anglaise, de là le surnom  du Club de Football de Walsall , les Selliers.

Outre les articles en cuir, d'autres industries à Walsall se côtoient comme le travail du fer et du laiton, l'exploitation des carrières de calcaire, l'industrie de petits matériels, de matières plastiques, d'électronique, de produits chimiques et de pièces pour l'aréonautique.

Mais Walsall reste dans l'ombre,
en effet, elle est actuellement éclipsé par sa plus grande ville voisine, Birmingham et la ville voisine de Wolverhampton.

 

 

 

http://www.bbc.co.uk/blackcountry/content/images/2005/08/05/3_f_470_470x300.jpgWalsall town centre




Economy

Walsall has had many industries, from coal mining to metal working. Nearby Willenhall (located partly in Walsall's borough) was famed for its locks. In the late 19th century, the coal mines ran dry, and Walsall became internationally famous for the leather trade. Walsall still manufactures the Queen's handbags, and Walsall leather products have been found as far afield as Italy. Walsall is the traditional home of the English saddle manufacture industry, hence the nickname of Walsall Football Club, The Saddlers. Apart from leather goods, other industries in Walsall include iron and brass founding, limestone quarrying, small hardware, plastics, electronics, chemicals, and aircraft parts.

Walsall is currently overshadowed by its larger neighbouring city of Birmingham and the nearby city of Wolverhampton. However its location in Central England and the fact that the M6 runs through the Metropolitan Borough of Walsall has increased its investment appeal. The main RAC control centre is located in Walsall close by J9 of the M6 and there are now plans to redevelop derelict land in nearby Darlaston and turn it into a state-of-the-art regional hub. Between Bloxwich and Walsall there is a business corridor where TK Maxx has recently opened a regional depot. Currently established businesses include Homeserve plc and South Staffordshire Water.


sources: wikipedia

et avec la contribution photographique de la BBC

Twin towns (Jumelé avec...)





QUELQUES ADRESSES DE SELLIERS ANGLAIS



classic saddlery walsall saddles made in england







Courtney King and Idacus

Welcome to Ryder Saddles

 

 

 



 

 












http://www.bbc.co.uk/blackcountry/content/images/2005/08/05/1_b_470_470x300.jpg




Un bloc ératique, un vrais!...


Walsall Arboretum 6


Standing in the Arboretum 1
Standing in the Arboretum


Ce bloc erratique
de lave rhyolitique
fut charié du nord de wales
 jusqu'au Midlands
par une mouvement lent du glacier
 durant l'age de glace.
Il fut enlevé de Fullbrook
et placé ici (
in the Arboretum)
en 1925.








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14 juillet 2009 2 14 /07 /juillet /2009 00:30


File:Dallas, Texas Skyline 2006.jpgDallas skyline from the W Dallas Victory Hotel & Residences














     Dallas  est une ville de l'État du Texas, aux États-Unis. Elle couvre une surface de 997 km² et c'est le siège du comté de Dallas. En 2008, sa population était estimée à 1 240 000 habitants (9e ville des États-Unis). La ville fait partie d'une vaste aire urbaine de 6 003 967 habitants (estimation 2006), le Dallas/Fort-Worth Metroplex, ou simplement the Metroplex, la 4e des États-Unis. Dallas est listée comme ville mondiale gamma par l'université de Loughborough de Londres.

     Dallas a été fondée en 1841 et incorporée comme ville le 2 février 1856. Troisième ville du Texas après Houston et San Antonio, dont elle est concurrente, "Big D" est un grand centre industriel spécialisé dans le domaine des technologies de l'industrie pétrolière, des télécommunications, de l'information, des banques et des transports. C'est le noyau de la plus grande zone métropolitaine intérieure aux États-Unis car elle ne dispose d'aucun lien navigable avec la mer, mais en dépit de cela son importance historique en tant que centre des industries pétrolière et du coton vient de sa position situé le long des lignes de chemin de fer.






Étymologie

     Selon la ville de Dallas, l'origine du nom "Dallas" est un mystère, en dépit des réclamations à l'effet contraire. Le fondateur de la ville, John Neely Bryan, a énoncé seulement qu'elle a été baptisée du "nom de mon ami Dallas". On a souvent dit que le comté et la ville ont été baptisés du nom de George Mifflin Dallas, le 11e vice-président des États-Unis. Cependant, il n'y a aucune preuve que Bryan ait rencontré George Mifflin Dallas, et le secteur s'est appelé Dallas plusieurs années avant que ce dernier fut élu.

     Les autres principaux candidats pour l'éponymie de Dallas sont :

    * Commodore Alexandre James Dallas, frère de George Mifflin Dallas, officier dans l'US Navy et   posté dans le golfe du Mexique.

    * Walter R. Dallas, qui a combattu à San Jacinto.

    * Joseph Dallas de l'Arkansas, qui a vécu dans la région de Cedar Springs en 1843, et s'est déplacé du comté de Washington (près des terres de John Neely Bryan dans le comté de Crawford) à la région de Dallas quelques années après l'arrivée de Bryan.





L'avant Dallas

     Avant que le Texas eut été réclamé comme partie de la Nouvelle-Espagne par l'Empire colonial espagnol dans les années 1500, la région de Dallas était habitée par les indiens Caddo. Un Européen qui a probablement visité la région de Dallas était Athanase de Mézières en 1778. De Mezieres, un Français au service du roi d'Espagne, a probablement traversé la rivière Trinity près du Fort Worth actuel, ayant suivi le Cross Timbers à travers le village de Tawakoni sur le fleuve Brazos près de Waco. Plus tard, la France a également réclamé le secteur, mais en 1819 le Traité d'Adams-Onís a fait de la Rivière Rouge du Sud la frontière nordique de la Nouvelle-Espagne, plaçant officiellement Dallas dans le territoire espagnol. La zone est demeurée sous le régime espagnol jusqu'en 1821, quand le Mexique a déclaré son indépendance et que le territoire est devenu une partie de l'état mexicain de Coahuila y Tejas. En 1836, la République du Texas s'est séparée du Mexique pour devenir une nation indépendante.




La naissance de la ville

     John Neely Bryan, recherchant un bon comptoir commercial pour servir les indiens et les colons, a examiné pour la première fois la région de Dallas en 1839. Bryan, qui a partagé la perspicacité de Sam Houston dans la sagesse des coutumes Amérindiennes, s'est rendu compte que les indiens Caddo, qu'il a trouvés par hasard, traversaient le seul passage naturel à des centaines de kilomètres sur la rivière Trinity. À ce qui est devenue le "Bryan's Bluff", le fleuve était une barrière infranchissable de boue et d'eau. L'itinéraire au nord-sud et le "Bryan's Bluff" sont devenus plus importants quand les États-Unis ont annexé le Texas en 1845.

     Après que Bryan eut examiné le secteur, il est revenu dans l'Arkansas. Tandis que là, un traité était signé pour supprimer tous les indiens du nord du Texas. Quand il est revenu en novembre 1841, la moitié de ses clients, les indiens, étaient partis. Il a décidé qu'au lieu de créer un comptoir commercial, il créerait une ville, qu'il a fondée le même mois. Environ 35 kilomètres au nord-ouest de son territoire était une communauté appelée Bird's Foot, Bryan a invité les colons de cette communauté à habiter à Dallas. John Beeman est arrivé en avril 1842 et il a planté le premier maïs. D'autres familles ont suivi le mouvement, y compris des membres de la colonie voisine de Peter.

     John Neely Bryan était à l'origine de presque tout à Dallas : il était postier, propriétaire d'un magasin, opérateur du ferry (il a actionné un ferry où Commerce Street traverse la rivière Trinity aujourd'hui, et sa maison a servi de tribunal. En 1843, le premier docteur est arrivé à Dallas ; en 1845, le premier avocat a fait sa maison là. En 1845, le premier vote a été tenu à Dallas à propos de l'annexion du Texas par les États-Unis. Sur 32 citoyens en droit de voter, 29 ont voté pour l'annexion et 3 ont voté contre elle. En 1846, la République du Texas est annexée par les États-Unis et le comté de Dallas est établi puis baptisé du nom de George Mifflin Dallas, qui était le 11e vice-président des États-Unis. L'origine du nom de la ville est discutable car John Neely Bryan a seulement déclaré qu'elle a avait été baptisée du "nom de son ami Dallas". En 1855, un groupe de musiciens et d'artistes européens fonde une communauté fouriériste appelée La Réunion. En 1860, le village de Dallas en pleine expansion incorpora La Réunion dans son propre territoire et les derniers colons se fondirent dans la population générale à laquelle ils apportèrent leurs compétences. Actuellement la tour de Reunion Tower, l’une des principales constructions de Dallas, doit son nom à la colonie bien qu’elle se situe à quelque distance de l’endroit où existait jadis la Réunion.









http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/9/97/Dallas%2C_Texas_Skyline_2005.jpg/800px-Dallas%2C_Texas_Skyline_2005.jpg




LIENS

_ Dallas IN ENGLICH (Wikipedia)



Welcome
 

 
French-American Chamber of Commerce Dallas/Fort Worth
     
 
 
 
 












Dallas c'est aussi ça...






et Dallas reste aussi dans nos mémoires...pour ça...




Fichier:Kennedys arrive at Dallas 11-22-63.JPG

File:CE2892.jpg


Fichier:John F. Kennedy motorcade, Dallas.jpg


Fichier:Pappas Exh1-murder Oswald-21-19.jpg


Fichier:CE390.jpg


Fichier:WCoswaldcarcano01.jpg











 




plus d'info sur l'assassinat de JFK sur ce site ci ou ou bien celui-ci.



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25 mai 2009 1 25 /05 /mai /2009 20:32
http://www.vieux.montreal.qc.ca/images/ind_a.jpg



Montréal

D'abord bien l'bonjour à nos cousins...



Pour ceux qui prennent le bateau en route, vous pouvez lire le billet sur:
-
Plume Latraverse




Montréal est située sur l’île du même nom, la plus grande de l’archipel d'Hochelaga, au confluent du fleuve Saint-Laurent et de la rivière des Outaouais, complètement à l'ouest de l'île.





http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/5/5f/Flag_of_Quebec.svg/70px-Flag_of_Quebec.svg.png





METEO http://www.meteomedia.com/common/images/wskies/e.jpg








Parcours en 20 étapes
De retour sur Notre-Dame Est Le boulevard Saint-Laurent La rue Notre-Dame Ouest Le vieux séminaire et Notre-Dame Place d’Armes La rue Saint-Jacques Du côté des Récollets Autour de la rue de l’Hôpital Rue Saint-Paul, près de la place d’Youville La place d’Youville L’ouest du Vieux-Port Pointe-à-Callière et la place Royale Rues Saint-Paul et de la Commune De Saint-Amable à Saint-Gabriel La place Jacques-Cartier L’est du Vieux-Port Bonsecours De Bonsecours à Berri La rue Notre-Dame Est Au Champ-de-Mars
       
Au Champ-de-Mars
11 
La place d’Youville
La rue Notre-Dame Est
12 
Rue Saint-Paul, près de la place d’Youville
De Bonsecours à Berri
13 
Autour de la rue de l’Hôpital
Bonsecours
14 
Du côté des Récollets
L’est du Vieux-Port
15 
La rue Saint-Jacques
La place Jacques-Cartier
16 
Place d’Armes
De Saint-Amable à Saint-Gabriel
17 
Le vieux séminaire et Notre-Dame
Rues Saint-Paul et de la Commune
18 
La rue Notre-Dame Ouest
Pointe-à-Callière et la place Royale
19 
Le boulevard Saint-Laurent
10 
L’ouest du Vieux-Port
20 
De retour sur Notre-Dame Est



Montréal est la métropole du Québec au Canada. Elle constitue un centre majeur du commerce, de l’industrie, de la culture, de la finance et des affaires internationales. Montréal a accueilli l’exposition universelle de 1967 et les Jeux olympiques d'été de 1976. On peut y voir aussi le Festival International de Jazz de Montréal, le Festival Juste Pour Rire, le Festival Montréal en lumière, le club de hockey les Canadiens de Montréal. Le Vieux-Montréal a été déclaré arrondissement historique en 1964.

Montréal est considérée comme la deuxième agglomération francophone de langue officielle dans le monde[3] et la seule métropole francophone en Amérique du Nord. Elle est aussi, après Toronto, la deuxième agglomération canadienne en importance.

Selon le recensement de 2006, la population de Montréal s'élèvait à 1 637 563 habitants (3 695 800 habitants pour l'ensemble de son agglomération). Environ 52,4 % de la population de la ville est francophone (de culture et de langue française), environ 32,4 % sont Néo-Canadiens ou Néo-Québécois (de culture et de langue autre que française et anglaise), tandis que 12,5 % sont anglophones (de culture et de langue anglaise), faisant de Montréal une ville interculturelle.

lire la suite...


http://abcvoyage.com/wp-content/uploads/2009/03/port_montreal_aggrandi.jpg


MONTRÉAL: 3 belles balades à vélo avec vue sur l'eau

On oublie trop souvent que Montréal est une île sillonnée de tous les côtés par un fleuve majestueux, de longues rivières et de vastes lacs. Pour contempler des rives verdoyantes, pour déambuler à bon rythme sur des sentiers joliment aménagés ou pour passer un moment en amoureux au gré de l'eau, ce ne sont pas les escapades qui manquent à Montréal.

lire la suite...






CE QU'IL FAUT VISITER

1- le Vieux-Montréal, datant du XVIIIe siècle, avec ses rues étroites, ses squares et ses églises.
2- la basilique Notre-Dame, de style néogothique, à l’intérieur bleu étonnant.
3- la rue Ste-Catherine, la plus grande rue commerciale de Montréal. Elle vous donne aussi accès à la ville souterraine avec un grand choix de magasins et commerces divers à l’abri du froid.
4- la rue St-Denis, pour son ambiance, ses librairies, boutiques et restaurants.
5- le Vieux-Port, lîle Sainte-Hélène, où est le plus grand parc d’attraction du Québec, et l’île Notre-Dame, une île artificielle créée au milieu du fleuve.
6- le parc du Mont-Royal, sur l’un des trois sommets du mont Royal, le parc le plus vaste de la ville et le plus beau.
7- le centre-ville, situé au pied du mont Royal, avec ses tours comme un petit New-York, ses églises et rues commerçantes et l’université McGill avec ses magnifiques hôtels particuliers.

Et aussi Biodôme, Jardin botanique et Insectarium, à l’est de Montréal, à côté du stade olympique.





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Le coin des papilles: dégustation


Papillotes de porc au sirop d’érable

erableTypiquement canadien, le sirop d’érable se marie très bien avec le porc. Consommé surtout avec les pancakes du matin aux USA et au canada, le sirop d’érable est également délicieux cuit avec les viandes blanches ( porc, veau, poulet).

Ingrédients: 6 côtelettes de porc - 4 pommes du canada - sirop d’érable - feuilles de sauge - sel et poivre - huile - papier sulfurisé

- Dans une poêle en fonte, faites revenir les côtes de porc sur toutes leurs faces dans l’huile chaude, elles doivent être bien dorées.
- Pelez les pommes, coupez-les en fines tranches, réservez.
- Préparez 6 feuilles de papier sulfurisé: Placez quelques feuilles de sauge sur la première, recouvrez avec la côtelette, salez, poivrez, disposez sur toute la surface quelques couches de tranches de pomme, versez du sirop d’érable à volonté et enfin, fermez parfaitement la papillote.
- Enfournez dans un four préchauffé à 200°C et laissez cuire au moins 30 minutes.
- Servez bien chaud.

 




Regardez vivre Montréal 24 heures par jour, 7 jours par semaine, à partir de n'importe où dans le monde. Le réseau WebCams de Montréal vous dévoile la ville en temps réel, grâce aux caméras placées dans les meilleurs sites.

 



Un symbole de Montréal


Dany Doucet
Le Journal de Montréal

Comme un baby-boomer qui regarde nostalgiquement ses photos d'enfance au moment d'atteindre l'âge vénérable de 50 ans, le premier gratte-ciel du Québec a décidé lui aussi d'exposer ses meilleures images en préparation de son demi-siècle d'existence.


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24 mai 2009 7 24 /05 /mai /2009 09:00


En cours de rédac

Brooklyn, c'est un nom qui évoque un tas de souvenir...


...Ce quartier de la Big Apple


Fichier:Brooklyn Heights from lower manhattan.jpg
Panorama de Brooklyn depuis Lower Manhattan





Brooklyn est l'une des cinq circonscriptions (borough) de la ville de New York aux États-Unis (avec Manhattan, Queens, le Bronx et Staten Island). Il coïncide avec le comté de Kings (Kings County), découpage administratif de l’État de New York. Avec une population de plus de 2 508 820 habitants en 2006[1], c'est celui qui est le plus peuplé ; il constituerait à lui seul la quatrième ville des États-Unis.




Géographie

Le district de Brooklyn occupe l'extrémité ouest de Long Island et est voisin du district du Queens. Sa côte nord est définie par la East River, qui la sépare de Manhattan. Brooklyn y est relié depuis 1883 par le pont de Brooklyn, qui est le plus ancien pont suspendu des États-Unis. D'autres ponts ont été construits ultérieurement, dont le pont de Williamsburg et le pont de Manhattan. La côte médiane du borough touche la Upper New York Bay. Le Buttermilk Channel sépare le borough de Governors Island. Au sud-ouest se trouvent la Gowanus Bay et le Gowanus Canal. À son extrémité ouest, Brooklyn est séparée de Staten Island par the Narrows, où se rejoignent Upper et Lower New York Bay. Le pont Verrazano, inauguré en 1964, permet de lier les deux boroughs. Il a été de 1964 à 1981 le plus long pont suspendu du monde. Au sud-est se trouvent Coney Island, Brighton Beach, Manhattan Beach et la Jamaica Bay.

La superficie de Brooklyn est de 251 km2, dont 183 km2 de terres émergées. Son point le plus élevé se situe aux alentours de Prospect Park et de Green-Wood Cemetery, à environ 61 mètres au dessus du niveau de la mer. Le quartier de Brooklyn Heights dans le centre-ville est construit sur une hauteur.


http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/8/80/BayRidgeStreet1.jpg

Bay Ridge, Brooklyn


Histoire

Fichier:Brooklyn-Pana-05.jpg

Brooklyn dans les années 1890




Les Néerlandais sont les premiers Européens à coloniser la région occidentale de Long Island, qui était jusqu'alors habitée par la tribu amérindienne Carnasie. Ils y établissent en 1634 Midwout (Midwood)[6]. Ils achètent aux Mohawks le territoire qui s'étend sur les quartiers actuels de Gowanus, Red Hook, du Brooklyn Navy Yard et de Bushwick. Le Village de Breuckelen (du nom de la ville de Breukelen aux Pays-Bas) est autorisé par la Compagnie néerlandaise des Indes occidentales en 1646 et devient ainsi la première municipalité des Nouveaux-Pays-Bas.

Les Néerlandais perdent le village lors de la conquête britannique de leur colonie en 1664. En 1683 les Britanniques réorganisent la Province de New York en douze comtés eux-mêmes subdivisés en villes; le nom de celui de Breuckelen évolue : de Brockland, Brocklin, puis Brookline, il finit par devenir Brooklyn. Brooklyn reprend le découpage administratif du comté de Kings. Ce nom avait été attribué en l'honneur du roi Charles II d'Angleterre.

Le 27 août 1776 s'y déroule la bataille de Brooklyn (dite aussi bataille de Long Island), lors de la guerre d'indépendance. La création de lignes de métro contribue à la croissance de Brooklyn, qui annexe les autres bourgs et villages du Comté de Kings et finit par fusionner avec celui-ci. La ville devient l'un des cinq districts de New York en 1898.

Ce quartier de la Big Apple connaît depuis le début du XXIe siècle un nouveau dynamisme qui se remarque notamment par l'essor des quartiers d'affaires de Greenpoint et Williamsburg. Plusieurs entreprises installent des bureaux de l'autre côté de l'East River.





  

   Pour être un escroc, il faut mettre ses sentiments au rebut. Ils nous avaient déjà plongés dans la crise par leurs magouilles financières, ils continuent en frappant les victimes au sol.
  
Aux Etats Unis, où les escrocs ne font pas dans la dentelle, ils achèvent, d'une balle dans le porte feuille déjà vide, les victimes de cette crise!

Jusqu'où ira la bassesse humaine?






Les escrocs s'adaptent vite
à la crise de l'immobilier 
Adèle Smith
04/05/2009 

Les plans de sauvetage frauduleux se multiplient. Le gouvernement peine à enrayer le mouvement. La Californie est l'État le plus touché, suivi par celui de New York.

   «Avant, les prédateurs proposaient des prêts à surprimes frauduleux, désormais ils arnaquent aussi les victimes de ces prêts.» L'auteur de cette remarque, David Vincent, est conseiller en « saisies » et entend toutes les semaines des histoires d'escroqueries dans le séminaire hebdomadaire qu'il anime pour les propriétaires en difficulté à la Neighborhood Housing Services, une association de Brooklyn chapeautée par la ville de New York.

   Non seulement, il voit les rangs de propriétaires sous le coup de procédure de saisie grossir de jour en jour, mais ceux-ci sont aussi de plus en plus souvent victimes de loan modification scams ou «arnaques à la renégociation de prêt». «C'est simple. Des sociétés prédatrices se procurent les listes de procédures de saisie. Elles contactent les propriétaires et leur promettent la renégociation du prêt de leur maison à des taux moins élevés contre une commission illégale. Elles empochent l'argent puis disparaissent. Les propriétaires perdent la commission et parfois leur maison. Certains de mes clients ont payé jusqu'à 7 000 dollars en croyant pouvoir sauver leur maison», explique-t-il. [...]


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... fait divers sur ... Newsday

A convicted killer who used a wheelchair was executed in broad daylight in Brooklyn Monday morning by a gunman who walked up to him and shot him once in the head, police said.

The paraplegic, Stephen Gowin, 38, was by his building in the Pink Houses in East New York when a man wearing a hooded sweatshirt approached him just past 7 a.m., pulled out a gun and fired, police said.

Gowin was pronounced dead at the scene - Linden Boulevard and Autumn Avenue - moments later.

Sharon Williams, who is believed to be Gowin's wife, was with him at the time, but was not hurt. Police sources said Williams, 37, was not being completely cooperative with detectives trying to figure out who killed Gowin.



Liens:

- De Boulbi à Brooklyn #11 Chronique ordinaire d’une travelin' girl
- On se met aussi au vélo à Brooklyn Bicycling and Brownstone Brooklyn



- ...et les chocolats de
Justine Pringle
http://graphics8.nytimes.com/images/2009/05/13/dining/13choc190.1.jpg








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